- Mais Anne répondit ainsi : « Non, Monseigneur, je ne suis qu'une femme affligée, je n'ai bu ni vin ni boisson fermentée, j'épanche mon âme devant Yahvé. - Lire dans le contexte
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- en Dieu mon salut et ma gloire, le rocher de ma force. En Dieu mon abri,
- Mes larmes, c'est là mon pain, le jour, la nuit, moi qui tout le jour entends dire Où est-il, ton Dieu ?
- Debout ! Pousse un cri dans la nuit au commencement des veilles ; répands ton coeur comme de l'eau devant la face de Yahvé, élève vers lui tes mains pour la vie de tes petits enfants qui défaillent de faim à l'entrée de toutes les rues !
- A Yahvé mon cri ! J'implore. A Yahvé mon cri ! Je supplie.
- je tends les mains vers toi, mon âme est une terre assoiffée de toi.
- Et maintenant, la vie en moi s'écoule, les jours d'affliction m'ont saisi.
- Une aimable réponse apaise la fureur, une parole blessante fait monter la colère.
- Par la patience un juge se laisse fléchir, la langue douce broie les os.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV