- Malheur ? ceux qui se l?vent de bon matin, qui recherchent la cervoise, qui demeurent jusqu'au soir, et jusqu'? ce que le vin les échauffe. - Lire dans le contexte
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- Malheur ? ceux qui sont puissants ? boire le vin, et vaillants ? avaler la cervoise;
- A qui est: malheur ? moi? ? qui est: hélas? ? qui les débats? ? qui le bruit? ? qui les blessures sans cause? ? qui la rougeur des yeux?
- Malheur ? toi, terre, quand ton Roi est jeune, et quand tes Gouverneurs mangent d?s le matin!
- Conduisons-nous honn?tement et comme en plein jour; non point en gourmandises, ni en ivrogneries; non point en couches, ni en insolences; non point en querelles, ni en envie.
- Mais ceux-ci aussi se sont oubliés dans le vin, et se sont fourvoyés dans la cervoise; le Sacrificateur et le Proph?te se sont oubliés dans la cervoise; ils ont été engloutis par le vin, ils se sont fourvoyés a cause de la cervoise; ils se sont oubliés dans la vision, ils ont bronché dans le jugement.
- Malheur ? la couronne de fierté, des ivrognes d'Ephra?m, la noblesse de la gloire duquel n'est qu'une fleur qui tombe; ceux qui sont sur le sommet de la grasse vallée sont étourdis de vin.
- Le vin est moqueur, et la cervoise est mutine; et quiconque y exc?de, n'est pas sage.
- Ainsi donc ne dormons point comme les autres, mais veillons, et soyons sobres.
- Les envies, les meurtres, les ivrogneries, les gourmandises, et les choses semblables ? celles-l?; au sujet desquelles je vous prédis, comme je vous l'ai déj? dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le Royaume de Dieu.
- Ne vous trompez point vous-m?mes: ni les fornicateurs, ni les idol?tres, ni les adult?res, ni les efféminés, ni ceux qui commettent des péchés contre nature, ni les larrons, ni les avares, ni les ivrognes, ni les médisants, ni les ravisseurs, n'hériteront point le Royaume de Dieu.
- Prenez donc garde ? vous-m?mes, de peur que vos coeurs ne soient appesantis par la gourmandise et l'ivrognerie, et par les soucis de cette vie; et que ce jour-l? ne vous surprenne subitement.
- Malheur ? celui qui fait boire son compagnon en lui approchant sa bouteille, et m?me l'enivrant, afin qu'on voie leur nudité.
- Au jour de notre Roi, on a rendu malades les Gouverneurs ? force de leur faire boire des bouteilles de vin; il a tendu la main aux bouffons.
- Il mord par derri?re comme un serpent, et il pique comme un basilic.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV