• Hors de la poussière, ébroue-toi, mets-toi debout, toi, la captive, Jérusalem, fais sauter les liens de ton cou, toi, la captive, fille de Sion. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Vous qui êtes mon peuple, sortez d'elle, sauve qui peut devant l'ardeur de la colère du SEIGNEUR.
  • Ils tomberont au fil de l'épée ; ils seront emmenés captifs dans toutes les nations, et Jérusalem sera foulée aux pieds par les nations jusqu'à ce que soit accompli le temps des nations.
  • L'Esprit du Seigneur est sur moi parce qu'il m'a conféré l'onction pour annoncer la Bonne Nouvelle aux pauvres. Il m'a envoyé proclamer aux captifs la libération et aux aveugles le retour à la vue, renvoyer les opprimés en liberté,
  • Je lui demandai : « Où vas-tu ? » Il me répondit : « Mesurer Jérusalem, voir quelle en sera la largeur et la longueur. »
  • Vous, les rescapés de l'épée, en route ! Ne vous arrêtez pas. Invoquez de loin le SEIGNEUR, et que la pensée de Jérusalem vous revienne à l'esprit.
  • L'Esprit du Seigneur DIEU est sur moi. Le SEIGNEUR, en effet, a fait de moi un messie, il m'a envoyé porter joyeux message aux humiliés, panser ceux qui ont le coeur brisé, proclamer aux captifs l'évasion, aux prisonniers l'éblouissement,
  • Vite, le voilà dégagé celui qui était prostré : il ne mourra pas, il n'est pas pour la fosse, et le pain ne lui manquera jamais !
  • Abattue, tu parleras depuis la terre, ta parole atténuée viendra de la poussière, ta voix, comme celle d'un revenant, montera de la terre, et de la poussière ta parole comme un sifflement.
  • Tes portes gémiront et se lamenteront et, dans le dénuement, tu seras assise à terre.
  • Et j'entendis une autre voix qui, du ciel, disait : Sortez de cette cité, ô mon peuple, de peur de participer à ses péchés, et de partager les fléaux qui lui sont destinés.
  • Fuyez de Babylone, sauve qui peut ! Sinon vous périrez quand elle paiera pour sa perversion. C'est, pour le SEIGNEUR, le moment de la vengeance : il lui rend son dû.
  • Je la mettrai dans la main de tes tourmenteurs, de ceux qui te disaient, à toi : « Aplatis-toi, pour que nous passions » ; alors, tu avais mis ton dos en guise de sol, en guise de rue pour les passants.
  • Tu diras alors dans ton coeur : « Ceux-ci, qui me les a enfantés ? Moi, j'étais privée d'enfants, stérile, en déportation, éliminée ; ceux-là, qui les a fait grandir ? Voilà que je restais seule, ceux-là, où donc étaient-ils ? »

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