- Les onagres s'arrêtent sur les crêtes, ils flairent le vent comme des chacals, leurs yeux se fatiguent en quête d'une herbe qui n'est plus. - Lire dans le contexte
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- Une ânesse sauvage habituée à la steppe ! En chaleur, elle renifle le vent ; son rut, qui peut le refouler ? Tous ceux qui la cherchent n'ont pas à se fatiguer, ils la trouvent en son mois.
- Qui mit en liberté l'âne sauvage, qui délia les liens de l'onagre
- Comme le bétail soupire ! Les troupeaux de boeufs s'affolent : plus de pâture pour eux. Même les troupeaux de petit bétail dépérissent.
- Jonathan dit : « Mon père a porté malheur au pays. Voyez comme j'ai le regard clair pour avoir goûté un peu de ce miel.
- Nous, nos yeux se consument encore dans l'attente d'une aide illusoire ; à nos postes de guet nous guettons la venue d'une nation qui ne peut pas sauver.
- Voici pourquoi tout notre être est malade ; voici pourquoi nos yeux sont enténébrés :
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV