• Qu'on entende chez eux des cris de détresse, quand soudain tu feras venir la razzia, car ils m'entourent de pièges pour m'attraper, ils dissimulent des filets sous mes pas. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Toi, mon peuple, revêts le sac, roule-toi dans la poussière ! Comme pour un fils unique, fais tous les rites du deuil, une amère lamentation ! Car soudain vient sur nous le dévastateur. Israël métal inépurable
  • SEIGNEUR, garde-moi des mains de l'impie, préserve-moi de l'homme violent, de ceux qui ont médité ma chute.
  • Hurlez ! pasteurs ; criez au secours ! Roulez-vous par terre, maîtres des troupeaux. Pour vous, le temps est venu d'être égorgés. Vous serez dispersés et vous tomberez comme des récipients précieux.
  • Eh bien ! en ce jour-là — oracle du SEIGNEUR — on entendra une clameur à la Porte des Poissons, un hurlement dans la Ville Neuve, un grand fracas sur les collines ;
  • jour de sonneries de cor et de cris de guerre contre les villes fortes et contre les hautes tours d'angle.
  • Sur Dieu, dont je loue la parole, sur Dieu je compte, je n'ai pas peur : que ferait pour moi un être de chair ?
  • Mon ventre ! mon ventre ! je me tords de douleur ! Les parois de mon coeur ! C'est le tumulte en moi, je ne puis me taire, car je perçois l'alerte du cor, le hourra de guerre.
  • Pousse des cris, Bath-Gallim ! Ecoute, Laïsha !
  • Alors les Pharisiens allèrent tenir conseil afin de le prendre au piège en le faisant parler.
  • Des appels au secours viennent de Horonaïm, ravage et grand désastre !
  • Ainsi parle le SEIGNEUR : Au nord, des eaux grossissent, elles deviennent un torrent tumultueux ; elles submergent le pays et tout ce qui s'y trouve : la ville et ceux qui l'habitent. Les gens crient au secours ; tous les habitants du pays hurlent
  • Proclamation sur le ravin de la vision. Qu'as-tu donc à monter tout entière sur les toits
  • Rend-on le mal pour le bien ? Eux, ils m'entourent de pièges fatals. Rappelle-toi comme je me suis tenu devant toi pour parler en leur faveur et détourner d'eux ta fureur.
  • Car la mort monte par nos fenêtres, elle pénètre dans nos belles maisons ; elle vient faucher les enfants dans la rue et les jeunes sur les places.
  • J'entends comme les plaintes d'une femme en travail, comme les cris d'angoisse d'une jeune maman, les cris de la belle Sion qui suffoque, qui tend les mains : Pauvre de moi ! je suis à bout de souffle face aux tueurs.

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