- Ainsi, que personne ne fonde son orgueil sur des hommes, car tout est à vous : - Lire dans le contexte
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- C'est à cause de vous, frères, que j'ai présenté cela sous une autre forme, en l'appliquant à Apollos et à moi-même, afin qu'à notre exemple vous appreniez à ne pas vous enfler d'orgueil en prenant le parti de l'un contre l'autre.
- Lui qui n'a pas épargné son propre Fils, mais l'a livré pour nous tous, comment, avec son Fils, ne nous donnerait-il pas tout ?
- Nous savons d'autre part que tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu, qui sont appelés selon son dessein.
- Le vainqueur recevra cet héritage, et je serai son Dieu, et lui sera mon fils.
- Et tout ce que nous vivons, c'est pour vous, afin qu'en s'accroissant la grâce fasse surabonder, par une communauté accrue, l'action de grâce à la gloire de Dieu.
- Non, ce n'est pas nous-mêmes, mais Jésus Christ Seigneur que nous proclamons. Quant à nous-mêmes, nous nous proclamons vos serviteurs à cause de Jésus.
- Quand l'un déclare : « Moi, j'appartiens à Paul », l'autre : « Moi à Apollos », n'agissez-vous pas de manière tout humaine ?
- Si quelqu'un veut se vanter, qu'il se vante de ceci : d'être assez malin pour me connaître, moi, le SEIGNEUR qui mets en oeuvre la bonté fidèle, le droit et la justice sur la terre. Oui, c'est cela qui me plaît — oracle du SEIGNEUR.
- Je m'explique ; chacun de vous parle ainsi : « Moi j'appartiens à Paul. — Moi à Apollos. — Moi à Céphas. — Moi à Christ. »
- En effet, ce n'est pas en vertu de la loi, mais en vertu de la justice de la foi que la promesse de recevoir le monde en héritage fut faite à Abraham ou à sa descendance.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV