- sachant que ce n'est point par des choses périssables, argent ou or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre héritée de vos pères, - Lire dans le contexte
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- Quelqu'un a payé le prix de votre rachat. Glorifiez donc Dieu par votre corps.
- Il s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité et de purifier un peuple qui lui appartienne, qui soit plein d'ardeur pour les belles oeuvres.
- qui s'est livré pour nos péchés, afin de nous arracher à ce monde du mal, conformément à la volonté de Dieu, qui est notre Père.
- Voici donc ce que je dis et atteste dans le Seigneur : ne vivez plus comme vivent les païens que leur intelligence conduit au néant.
- Nous allons faire tout ce que nous avons décidé : brûler des offrandes à la Reine du ciel, lui verser des libations, comme nous l'avons fait dans les villes de Juda et dans les ruelles de Jérusalem — nous-mêmes, nos pères, nos rois, nos ministres ; alors nous avions du pain à satiété et nous vivions heureux sans connaître de malheur.
- Voici, tu as donné à mes jours une largeur de main, et ma durée n'est presque rien devant toi. Oui, tout homme solide n'est que du vent ! Pause.
- Quelqu'un a payé le prix de votre rachat : ne devenez pas esclaves des hommes.
- et encore : Le Seigneur connaît les pensées des sages. Il sait qu'elles sont vaines.
- puisque, connaissant Dieu, ils ne lui ont rendu ni la gloire ni l'action de grâce qui reviennent à Dieu ; au contraire, ils se sont fourvoyés dans leurs vains raisonnements et leur coeur insensé est devenu la proie des ténèbres :
- Mais, quand on apprit qu'il était Juif, tous se mirent à scander d'une seule voix, pendant près de deux heures : « Grande est l'Artémis d'Ephèse ! »
- « Hommes à la nuque raide, incirconcis de coeur et d'oreilles, toujours vous résistez à l'Esprit Saint ; vous êtes bien comme vos pères.
- « Pourquoi tes disciples transgressent-ils la tradition des anciens ? En effet, ils ne se lavent pas les mains, quand ils prennent leurs repas. »
- SEIGNEUR, ma force et mon abri, mon refuge au jour de l'angoisse, c'est vers toi que viendront les nations des confins de la terre en disant : Ce que nos pères ont reçu comme patrimoine n'est que fausseté, des absurdités toutes bonnes à rien.
- Eh bien ! ainsi parle le SEIGNEUR le tout-puissant, le Dieu d'Israël : Je vais leur faire avaler la ciguë, leur faire boire de l'eau empoisonnée ;
- A ce moment-là, on dira à ce peuple et à Jérusalem : Un vent embrasé sur les pistes, dans le désert, est en route vers mon peuple, non pour vanner, non pour nettoyer :
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