- Je vous ai écrit en peu de mots par Silvain, qui est, comme je l'estime, un frère fidèle, vous exhortant et vous assurant que la vraie grâce de Dieu est celle dans laquelle vous demeurez fermes. - Lire dans le contexte
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- Frères, je vous prie de supporter cette parole d'exhortation; car je vous ai écrit en peu de mots.
- Lorsqu'il fut arrivé, et qu'il eut vu la grâce de Dieu, il s'en réjouit, et les exhorta tous à demeurer attachés au Seigneur avec un cœur ferme.
- Je vous rappelle, frères, l'Évangile que je vous ai annoncé, et que vous avez reçu, et dans lequel vous persévérez,
- Car Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui vous a été prêché par nous, par moi, et Silvain, et Timothée, n'a point été oui et non; mais il a été oui en lui.
- Mais je ne me mets en peine de rien, et ma vie ne m'est point précieuse, pourvu que j'achève avec joie ma course et le ministère que j'ai reçu du Seigneur Jésus, pour annoncer la bonne nouvelle de la grâce de Dieu.
- Paul, Silvain et Timothée, à l'Église des Thessaloniciens qui est en Dieu notre Père, et dans le Seigneur Jésus-Christ.
- Paul, et Silvain, et Timothée, à l'Église des Thessaloniciens, en Dieu le Père, et en notre Seigneur Jésus-Christ. La grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père, et du Seigneur Jésus-Christ.
- Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j'ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints.
- Tous et la vérité elle-même rendent un bon témoignage à Démétrius; nous aussi, nous le lui rendons, et vous savez que notre témoignage est véritable.
- Si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est d'un plus grand poids; or, c'est là le témoignage que Dieu a rendu de son Fils.
- Qui, ayant quitté le droit chemin, se sont égarés, en suivant la voie de Balaam, fils de Bosor, qui aima le salaire de l'iniquité, mais qui fut repris de son injustice;
- C'est pourquoi, je ne négligerai pas de vous rappeler sans cesse ces choses, quoique vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente.
- Non que nous dominions sur votre foi, mais nous contribuons à votre joie, puisque c'est par la foi que vous demeurez fermes.
- C'est par révélation qu'Il m'a fait connaître ce mystère, comme je viens de l'écrire en peu de mots.
- Ainsi que vous en avez été instruits par Épaphras, notre cher compagnon de service, qui est pour vous un fidèle ministre de Christ,
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