- il parla au peuple selon le conseil des jeunes gens : « Mon père a rendu pesant votre joug, moi, j'augmenterai le poids de votre joug ; mon père vous a corrigés avec des fouets, moi, je vous corrigerai avec des lanières cloutées. » - Lire dans le contexte
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- Les jeunes gens qui avaient grandi avec lui répondirent : « Voici ce que tu diras à ce peuple qui t'a parlé ainsi : “Ton père a rendu pesant notre joug, mais toi, allège-le-nous” ; voici donc ce que tu leur diras : “Mon petit doigt est plus gros que les reins de mon père ;
- La paille, on ne la fournit plus à tes serviteurs — et les briques, on nous dit : Faites-en ! Voici qu'on frappe tes serviteurs. Ton peuple a tort ! »
- Le Pharaon dit : « Maintenant que la population du pays est nombreuse, vous voudriez qu'ils se reposent de leurs corvées ! »
- Mais si vous avez le coeur plein d'aigre jalousie et d'esprit de rivalité, ne faites pas les avantageux et ne nuisez pas à la vérité par vos mensonges.
- Alors ces ministres et ces satrapes se précipitèrent chez le roi et lui parlèrent ainsi : « O roi Darius ! Vis à jamais !
- Les chefs de Tanis sont vraiment stupides, les sages conseillers du Pharaon forment un conseil d'abrutis. Comment pouvez-vous dire au Pharaon : « Je suis un sage, un disciple des rois de jadis » ?
- Mieux vaut l'aboutissement d'une chose que ses prémices, mieux vaut un esprit patient qu'un esprit prétentieux.
- Commencer une querelle c'est ouvrir une vanne : avant que s'exaspère la dispute, abandonne !
- Avant la ruine, il y a l'orgueil ; avant le faux pas, l'arrogance.
- Par l'orgueil, on n'obtient que contestation, la sagesse se trouve chez ceux qui admettent les conseils.
- Les justes ne songent qu'au droit, les méchants qu'à la fausseté.
- Les courtisans à son service dirent alors : « Qu'on cherche pour le roi des jeunes filles, vierges et belles à regarder.
- Memoukân prit alors la parole en présence du roi et des ministres : « Ce n'est pas seulement le roi que Vasti, la reine, a bafoué, mais tous les ministres et tous les peuples de toutes les provinces du roi Xerxès.
- Il fit ce qui est mal aux yeux du SEIGNEUR comme la maison d'Akhab, car ces gens-là furent ses conseillers, après la mort de son père, pour provoquer sa perte.
- et leur rendirent la vie amère par une dure servitude : mortier, briques, tous travaux des champs, bref toutes les servitudes qu'ils leur imposèrent avec brutalité.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV