• Le roi n'écouta pas le peuple : ce fut là le moyen employé indirectement par le SEIGNEUR pour accomplir la parole qu'il avait dite à Jéroboam, fils de Nevath, par l'intermédiaire d'Ahiyya de Silo. - Lire dans le contexte

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  • “Ainsi parle le SEIGNEUR : Vous ne devez pas monter au combat contre vos frères, les fils d'Israël ; que chacun retourne chez lui, car c'est moi qui ai provoqué cet événement.” » Ils écoutèrent la parole du SEIGNEUR et s'en retournèrent pour marcher selon la parole du SEIGNEUR.
  • Son père et sa mère ne savaient pas que cela venait du SEIGNEUR, car celui-ci cherchait une occasion de s'en prendre aux Philistins ; en ce temps-là, les Philistins dominaient sur Israël.
  • Le SEIGNEUR dit à Salomon : « Puisque tu te conduis ainsi et que tu n'as pas gardé mon alliance ni les lois que je t'avais prescrites, je vais t'arracher la royauté et je la donnerai à l'un de tes serviteurs.
  • Mais Sihôn, roi de Heshbôn, n'a pas voulu nous laisser passer par chez lui, car le SEIGNEUR ton Dieu avait rendu son esprit inflexible et son coeur résistant, pour le livrer entre tes mains ce jour-là.
  • Mais Amasias ne l'écouta pas — car cela venait de Dieu qui voulait les livrer entre leurs mains parce qu'ils avaient vénéré les dieux d'Edom.
  • Si le roi n'écouta pas le peuple, ce fut là le moyen employé indirectement par Dieu pour accomplir la parole que le SEIGNEUR avait dite à Jéroboam fils de Nevath, par l'intermédiaire d'Ahiyya de Silo.
  • C'est de Dieu que vint la perte d'Akhazias par sa visite à Yoram. A son arrivée, il sortit avec Yoram au-devant de Jéhu, fils de Nimshi, à qui le SEIGNEUR avait donné l'onction royale pour abattre la maison d'Akhab.
  • A cette époque comme Jéroboam était sorti de Jérusalem, le prophète Ahiyya de Silo le rencontra en chemin ; Ahiyya était couvert d'un manteau neuf, et ils étaient tous les deux seuls dans la campagne.
  • Comme il lui disait cela, Amasias lui répondit : « Est-ce qu'on t'a institué donneur d'avis pour le roi ? N'insiste pas ! Faudrait-il qu'on te frappe ? » Le prophète n'insista pas, mais il dit : « Je sais que Dieu est d'avis de te supprimer puisque tu as fait cela et que tu n'as pas écouté mon avis. »
  • Dès le début j'annonce la suite, dès le passé, ce qui n'est pas encore exécuté. Je dis : « Mon dessein subsistera, et tout ce qui me plaît, je l'exécuterai. »
  • Sachez donc que pas une parole du SEIGNEUR, pas une de celles qu'il a dites contre la maison d'Akhab ne restera sans effet : le SEIGNEUR a accompli ce qu'il a dit par l'intermédiaire de son serviteur Elie. »
  • Si le cor retentit dans une ville, le peuple n'a-t-il pas été alarmé ? S'il arrive malheur dans une ville, n'est-ce pas le SEIGNEUR qui l'a fait ?
  • Lorsque les soldats eurent achevé de crucifier Jésus, ils prirent ses vêtements et en firent quatre parts, une pour chacun. Restait la tunique : elle était sans couture, tissée d'une seule pièce depuis le haut.
  • Après quoi, sachant que dès lors tout était achevé, pour que l'Ecriture soit accomplie jusqu'au bout, Jésus dit : « J'ai soif » ;
  • Les soldats vinrent donc, ils brisèrent les jambes du premier, puis du second de ceux qui avaient été crucifiés avec lui.

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