• Je veux donc que les plus jeunes se marient, qu'elles aient des enfants, qu'elles gouvernent leur ménage, et ne donnent à l'adversaire aucun sujet de médire. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • A être sages, chastes, à garder la maison; à être bonnes, soumises à leurs maris; afin que la parole de Dieu ne soit point calomniée.
  • Que tous les esclaves qui sont sous le joug, regardent leurs maîtres comme dignes de tout respect, afin que le nom de Dieu et la doctrine ne soient pas blasphémés;
  • Défendant de se marier, commandant de s'abstenir d'aliments que Dieu a créés, afin que les fidèles et ceux qui ont connu la vérité, en usent avec actions de grâces.
  • Une parole saine, irréprochable, afin que les adversaires soient confondus, n'ayant aucun mal à dire de vous.
  • Elle surveille ce qui se fait dans sa maison, et elle ne mange point le pain de paresse.
  • Toutefois, parce qu'en cela tu as donné occasion aux ennemis de l'Éternel de blasphémer, le fils qui t'est né mourra certainement.
  • Si l'on vous dit des injures pour le nom de Christ, vous êtes bienheureux; car l'Esprit de gloire, l'Esprit de Dieu, repose sur vous. Il est blasphémé par eux, mais il est glorifié par vous.
  • Que le mariage soit honorable en toutes choses, et le lit sans souillure; or, Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.
  • Mais refuse les veuves plus jeunes; car lorsque le libertinage les oppose à Christ, elles veulent se remarier;
  • Je veux donc que les hommes prient en tout lieu, levant des mains pures, sans colère et sans contestation;
  • Mais je le fais, (et je le ferai encore,) pour ôter tout prétexte à ceux qui cherchent des prétextes, en sorte qu'ils soient trouvés tels que nous dans les choses dont ils se glorifient.
  • Toute femme sage bâtit sa maison; mais la folle la renverse de ses mains.
  • Ne nous jugeons donc plus les uns les autres; mais jugez plutôt qu'il ne faut donner aucune occasion de chute, ni aucun scandale à son frère.
  • Le peuple se tenait là et regardait. Et les principaux se moquaient avec le peuple, en disant: Il a sauvé les autres, qu'il se sauve lui-même, s'il est le Christ, l'élu de Dieu.
  • Et les ministres et les satrapes cherchaient une occasion d'accuser Daniel, au sujet des affaires du royaume; mais ils ne purent trouver aucune occasion, ni aucune malversation, car il était fidèle; et il ne se trouvait en lui ni faute ni malversation.

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