• Les chefs d'Israël et le roi s'humilièrent et dirent : « Le SEIGNEUR est juste. » - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Le Pharaon fit appeler Moïse et Aaron et leur dit : « Cette fois-ci, j'ai péché ; c'est le SEIGNEUR qui est le juste ; moi et mon peuple, nous sommes les coupables.
  • Le SEIGNEUR a veillé sur ce malheur et l'a fait venir sur nous ; car le SEIGNEUR notre Dieu est juste dans toutes les oeuvres qu'il a faites, mais nous n'avons pas écouté sa voix.
  • « Il est juste le SEIGNEUR, puisque j'avais désobéi à son ordre. Ecoutez donc tous, peuples, et voyez ma douleur. Mes jeunes filles et mes jeunes gens sont allés en captivité.
  • Jusqu'à ce jour, ils n'ont ressenti aucune contrition ; ils n'ont pas de respect et ils ne suivent pas les directives et les principes que j'ai exposés à vous et à vos pères.
  • Dis au roi et à la reine mère : « A terre, maintenant ! Elle est descendue de votre tête, votre superbe couronne !
  • Ecoutez, soyez tout oreilles, ne le prenez pas de haut : c'est le SEIGNEUR qui parle.
  • Le SEIGNEUR est juste, il a brisé les cordes des infidèles.
  • Quand Dieu les tuait, eux le cherchaient ; ils se reprenaient, ils se tournaient vers lui,
  • il chante devant les hommes en disant : « J'avais péché, j'avais violé le droit, mais lui ne s'est pas conduit comme moi.
  • Mais il ne s'humilia pas devant le SEIGNEUR comme s'était humilié son père Manassé ; au contraire, lui, Amôn, il commit encore plus de fautes.
  • Sa prière et son retour en grâce, tout son péché et son infidélité, avec les endroits où, avant son humiliation, il avait construit des hauts lieux et placé des poteaux sacrés et des statues, sont écrits dans les Actes de Hozaï.
  • Quand il fut dans la détresse, il apaisa la face du SEIGNEUR son Dieu, il s'humilia profondément devant le Dieu de ses pères
  • Mais Ezékias, malgré cet orgueil de son coeur, s'humilia, lui et les habitants de Jérusalem, aussi le courroux du SEIGNEUR ne vint pas sur eux pendant sa vie.
  • « Qu'il y ait la famine dans le pays, qu'il y ait la peste, qu'il y ait la rouille, la nielle, les sauterelles, les criquets, que l'ennemi assiège les villes du pays, quel que soit le fléau, quelle que soit la maladie,
  • Adoni-Bèzeq dit : « Soixante-dix rois dont on avait coupé les pouces des mains et des pieds ramassaient les restes sous ma table. Ce que j'ai fait, Dieu me l'a rendu. » On l'amena à Jérusalem et c'est là qu'il mourut.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV