- Ce n'est pas pour vous condamner que je dis cela, car je l'ai déjà dit : vous êtes dans nos coeurs à la mort et à la vie. - Lire dans le contexte
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- Nous nous sommes librement adressés à vous. Corinthiens, notre coeur s'est grand ouvert.
- Nous avions pour vous une telle affection que nous étions prêts à vous donner non seulement l'Evangile de Dieu, mais même notre propre vie, tant vous nous étiez devenus chers.
- Oui, Dieu m'est témoin que je vous chéris tous dans la tendresse de Jésus Christ.
- C'est pourquoi, étant encore loin, je vous écris ceci pour ne pas avoir, une fois présent, à trancher dans le vif selon le pouvoir que le Seigneur m'a donné pour édifier et non pour détruire.
- Pour moi, bien volontiers je dépenserai et me dépenserai moi-même tout entier pour vous. Si je vous aime davantage, en serai-je moins aimé ?
- Et pourquoi ? Parce que je ne vous aime pas ? Dieu le sait !
- Bref, si je vous ai écrit, ce n'était ni à cause de l'offenseur, ni à cause de l'offensé, mais pour faire voir devant vous, en présence de Dieu, le zèle que vous avez pour nous.
- Notre lettre, c'est vous, lettre écrite dans nos coeurs, connue et lue par tous les hommes.
- aussi est-ce en pleine difficulté et le coeur serré que je vous ai écrit parmi bien des larmes, non pour vous attrister, mais pour que vous sachiez l'amour débordant que je vous porte.
- Je ne vous écris pas cela pour vous faire honte, mais pour vous avertir, comme mes enfants bien-aimés.
- Mais Ruth dit : « Ne me presse pas de t'abandonner, de retourner loin de toi ; car où tu iras j'irai, et où tu passeras la nuit je la passerai ; ton peuple sera mon peuple et ton dieu mon dieu ;
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV