- je me réjouis maintenant, non de votre tristesse, mais du repentir qu'elle a produit. Car votre tristesse a été selon Dieu ; ainsi, de notre part, vous n'avez subi aucun dommage. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Car nous sommes sans pouvoir contre la vérité, nous n'en avons que pour la vérité.
- mon témoignage appelait et les Juifs et les Grecs à se convertir à Dieu et à croire en notre Seigneur Jésus.
- Et même si je suis un peu trop fier du pouvoir que le Seigneur nous a donné pour votre édification, et non pour votre ruine, je n'en rougirai pas.
- Car la tristesse selon Dieu produit un repentir qui conduit au salut et ne laisse pas place au regret... La tristesse selon ce monde produit la mort.
- Mais Dieu, qui console les humbles, nous a consolé par l'arrivée de Tite,
- pour les uns, odeur de mort qui conduit à la mort, pour les autres, odeur de vie qui conduit à la vie. Et qui est à la hauteur d'une telle mission ?
- Car notre sujet de fierté, c'est ce témoignage de notre conscience : nous nous sommes conduits dans le monde, et plus particulièrement envers vous, avec la simplicité et la pureté de Dieu, non avec une sagesse humaine, mais par la grâce de Dieu.
- Mais il fallait festoyer et se réjouir, parce que ton frère que voici était mort et il est vivant, il était perdu et il est retrouvé.” »
- Rentrant alors en lui-même, il se dit : “Combien d'ouvriers de mon père ont du pain de reste, tandis que moi, ici, je meurs de faim !
- C'est ainsi, je vous le déclare, qu'il y a de la joie chez les anges de Dieu pour un seul pécheur qui se convertit. »
- Je vous le déclare, c'est ainsi qu'il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit, plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n'ont pas besoin de conversion.
- Et je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de bonne volonté et de supplication. Alors ils regarderont vers moi, celui qu'ils ont transpercé. Ils célébreront le deuil pour lui, comme pour le fils unique. Ils le pleureront amèrement comme on pleure un premier-né.
- J'entends, oui, j'entends Ephraïm qui se lamente : « Tu me domptes et je me laisse dompter comme un taurillon indocile : fais-moi revenir, que je puisse revenir, car toi, SEIGNEUR, tu es mon Dieu.
- Il dit : « Va, tu diras à ce peuple : Ecoutez bien, mais sans comprendre, regardez bien, mais sans reconnaître.
- Mieux vaut le chagrin que le rire, car sous un visage en peine, le coeur peut être heureux ;
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV