- C'est pourquoi, je ne négligerai pas de vous rappeler sans cesse ces choses, quoique vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente. - Lire dans le contexte
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- Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez, et parce que nul mensonge ne vient de la vérité.
- Au reste, mes frères, réjouissez-vous dans le Seigneur. Je ne me lasse point, quant à moi, de vous écrire les mêmes choses, et quant à vous, c'est votre sûreté.
- Pour moi, frères, j'ai la persuasion que vous êtes pleins de bonté, remplis de toute connaissance, et capables de vous exhorter les uns les autres.
- Or, je veux vous rappeler, à vous qui l'avez su une fois, que le Seigneur ayant délivré le peuple du pays d'Égypte, détruisit ensuite ceux qui ne crurent pas;
- Mais vous, bien-aimés, souvenez-vous des choses qui ont été prédites par les apôtres de notre Seigneur Jésus-Christ;
- A cause de la vérité qui demeure en nous, et qui sera avec nous pour l'éternité:
- Et je crois qu'il est juste, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de vous réveiller par mes avertissements,
- Si tu représentes ces choses aux frères, tu seras un bon ministre de Jésus-Christ, nourri des paroles de la foi et de la bonne doctrine que tu as exactement suivie.
- Bien-aimés, plein de zèle pour vous écrire touchant notre salut commun, j'ai jugé nécessaire de le faire, pour vous exhorter à combattre pour la foi qui a été donnée une fois aux saints.
- Vous donc, bien-aimés, qui êtes avertis, soyez sur vos gardes, de peur qu'entraînés par l'égarement des impies, vous ne veniez à déchoir de votre fermeté.
- Bien-aimés, voici déjà la seconde épître que je vous écris. Dans l'une et dans l'autre je réveille par mes avertissements votre saine intelligence;
- Je vous ai écrit en peu de mots par Silvain, qui est, comme je l'estime, un frère fidèle, vous exhortant et vous assurant que la vraie grâce de Dieu est celle dans laquelle vous demeurez fermes.
- Or, que le Dieu de toute grâce, qui nous a appelés à sa gloire éternelle en Jésus-Christ, après que vous aurez un peu souffert, vous rende parfaits, fermes, forts et inébranlables.
- Ne vous laissez point entraîner par des doctrines diverses et étrangères; car il est bon que le cœur soit affermi par la grâce et non par des préceptes sur les viandes, qui n'ont servi de rien à ceux qui les ont suivis.
- Or, souvenez-vous des premiers jours, où, après avoir été éclairés, vous avez soutenu un grand combat de souffrances;
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