- Ils vinrent donc, et cri?rent aux portiers de la ville, et leur firent entendre, en disant: Nous sommes entrés dans le camp des Syriens, et voil?, il n'y a personne, et on n'y entend la voix d'aucun homme; mais il y a seulement des chevaux attachés, et des ?nes attachés, et les tentes sont comme elles étaient. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Puis la sentinelle vit un autre homme, qui courait; et elle cria au portier, et dit: Voil? un homme qui court tout seul; et le Roi dit: Il apporte aussi de bonnes nouvelles.
- Car le Seigneur avait fait entendre dans le camp des Syriens un bruit de chariots, et un bruit de chevaux, et un bruit d'une grande armée; de sorte qu'ils avaient dit l'un ? l'autre: Voil? le Roi d'Isra?l a payé les Rois des Héthiens, et les Rois des Egyptiens pour venir contre nous.
- Alors les portiers s'écri?rent; et le firent entendre dans la maison du Roi.
- Cantique de Mahaloth, de Salomon. Si l'Eternel ne b?tit la maison, ceux qui la b?tissent, y travaillent en vain; si l'Eternel ne garde la ville, celui qui la garde, fait le guet en vain.
- C'est comme si un homme allant dehors, et laissant sa maison, donnait de l'emploi ? ses serviteurs, et ? chacun sa t?che, et qu'il command?t au portier de veiller.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV