- Qui donc a frappé Abimélek, fils de Yeroubbèsheth ? N'est-ce pas une femme qui lui a lancé une meule du haut du rempart, et c'est ainsi qu'il est mort à Tévéç ? Pourquoi vous êtes-vous approchés du rempart ? ”, tu lui diras : “Ton serviteur Urie le Hittite est mort lui aussi.” » - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Ce jour-là, on appela Gédéon : Yeroubbaal, en disant : « Que Baal plaide sa cause contre lui », puisqu'il a renversé son autel.
- Yeroubbaal — c'est Gédéon — se leva de bon matin, lui et tout le peuple qui était avec lui, et ils campèrent près de Ein-Harod, tandis que le camp de Madiân se trouvait plus au nord, du côté de la colline de Moré, dans la plaine.
- Puis Abimélek se mit en route vers Tévéç ; il l'assiégea et s'en empara.
- Quand Avner fut revenu à Hébron, Joab l'attira à l'écart à l'intérieur de la porte, comme pour lui parler tranquillement. Là, il le frappa mortellement au ventre, pour venger le sang de son frère Asahel.
- Tes mains n'étaient pas enchaînées, on n'avait pas mis tes pieds aux fers. Comme on tombe devant des criminels, tu es tombé. » Et tout le peuple se remit à pleurer sur lui.
- Dès lors, que puis-je attendre, Seigneur ? Mon espérance est en toi :
- Tous, ils se mettent à parler et te disent : « Toi aussi, te voilà désormais sans force, comme nous, tu es devenu semblable à nous.
- Alors que Samarie n'avait pas commis la moitié de tes péchés, tu as rendu tes abominations plus nombreuses que les siennes ; tu as fait apparaître justes tes soeurs, par toutes les abominations que tu as commises.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV