- Et le lit des mers apparut, les assises du monde se découvrirent, au grondement de la menace de Yahvé, au vent du souffle de ses narines. - Lire dans le contexte
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- Il menace la mer, il la met à sec, il fait tarir tous les fleuves. ... flétris sont Bashân et le Carmel, flétrie la verdure du Liban !
- Il leur dit : « Pourquoi avez-vous peur, gens de peu de foi ? » Alors, s'étant levé, il menaça les vents et la mer, et il se fit un grand calme.
- Est-ce contre les fleuves, Yahvé, que flambe ta colère, ou contre la mer ta fureur, pour que tu montes sur tes chevaux, sur tes chars de salut ?
- La mer voit et s'enfuit, le Jourdain retourne en arrière ;
- Il menaça la mer des Joncs, elle sécha, il les mena sur l'abîme comme au désert,
- Poème. D'Asaph. Pourquoi, ô Dieu, rejeter jusqu'à la fin, fumer de colère contre le troupeau de ton bercail ?
- il décocha ses flèches et les dispersa, il lança les éclairs et les chassa.
- « Tu n'iras pas plus loin, lui dis-je, ici se brisera l'orgueil de tes flots ! »
- une fumée monta à ses narines, et de sa bouche un feu dévorait des braises s'y enflammèrent.
- Au souffle de tes narines, les eaux s'amoncelèrent, les flots se dressèrent comme une digue, les abîmes se figèrent au coeur de la mer.
- Moïse étendit la main sur la mer, et Yahvé refoula la mer toute la nuit par un fort vent d'est ; il la mit à sec et toutes les eaux se fendirent.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV