- Tu me ceins de vigueur pour le combat, tu fais plier sous moi les agresseurs. - Lire dans le contexte
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- O Dieu, toi qui es mon roi, commande, et Jacob vaincra.
- vous serez fortifiés à tous égards par la vigueur de sa gloire et ainsi amenés à une persévérance et une patience à toute épreuve. Avec joie,
- Je les massacre, ils ne peuvent se relever, ils tombent sous mes pieds.
- Ils chantaient un cantique nouveau : Tu es digne de recevoir le livre et d'en rompre les sceaux, car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu, par ton sang, des hommes de toute tribu, langue, peuple et nation.
- Ils iront vers toi en se courbant, les fils de ceux qui t'humiliaient, ils se prosterneront à tes pieds, tous ceux qui te bafouaient. Ils t'appelleront « Ville du SEIGNEUR », « Sion du Saint d'Israël ».
- C'est moi qui suis le SEIGNEUR, il n'y en a pas d'autre, moi excepté, nul n'est dieu ! Je t'ai mis le ceinturon, sans que tu me connaisses,
- Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, et mon libérateur, mon bouclier, et je me réfugie près de lui ; il range mon peuple sous mon pouvoir.
- Qui donc est dieu sinon le SEIGNEUR ? Qui donc est le Roc hormis notre Dieu ?
- David, avec ses hommes, partit pour Qéïla et attaqua les Philistins. Il emmena leurs troupeaux et leur porta un coup très dur. David sauva donc les habitants de Qéïla.
- David mit prestement la main dans son sac, y prit une pierre, la lança avec la fronde et frappa le Philistin au front. La pierre s'enfonça dans son front, et il tomba la face contre terre.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV