- Ils t'ont chassé jusqu'aux frontières, ils se sont joué de toi, tous tes alliés ! Ils t'ont dupé, tes bons amis ! Ceux qui mangeaient ton pain tendent des pièges sous tes pas : « Il n'a plus sa raison ! » - Lire dans le contexte
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- « C'est une plaie d'enfer qui gagne en lui, maintenant qu'il s'est couché, il n'aura plus de lever. »
- A Edom. Ainsi parle Yahvé Sabaot. N'y a-t-il plus de sagesse dans Témân, le conseil a-t-il disparu chez les gens intelligents ; leur sagesse s'est-elle évanouie ?
- Tous tes amants t'ont oubliée, ils ne te recherchent plus ! Oui, je t'ai frappée comme frappe un ennemi, d'un rude châtiment pour ta faute si grande, tes péchés si nombreux.
- Et ces dix cornes-là, ce sont dix rois ; ils n'ont pas encore reçu de royauté, ils recevront un pouvoir royal, pour une heure seulement, avec la Bête.
- Ce n'est pas de vous tous que je parle ; je connais ceux que j'ai choisis ; mais il faut que l'Écriture s'accomplisse : Celui qui mange mon pain a levé contre moi son talon.
- Les douleurs de l'enfantement surviennent pour lui, mais c'est un enfant stupide ; il est à terme et ne quitte pas le sein maternel !
- Eh bien ! Oholiba, ainsi parle le Seigneur Yahvé. Voici que je vais dresser contre toi tes amants dont tu t'es détournée ; je vais les ramener contre toi de tous côtés,
- J'ai fait appel à mes amants : ils m'ont trahie. Mes prêtres et mes anciens expiraient dans la ville, cherchant une nourriture qui leur rendît la vie.
- Voici : toutes les femmes qui demeurent encore au palais du roi de Juda seront menées aux officiers du roi de Babylone ; et elles diront Ils t'ont séduit, ils t'ont dupé, tes bons amis ! Tes pieds pataugent dans le bourbier, eux sont partis !
- J'entendais les calomnies de beaucoup : « Terreur de tous côtés ! Dénoncez ! Dénonçons-le ! » Tous ceux qui étaient en paix avec moi guettaient ma chute : « Peut-être se laissera-t-il séduire ? Nous serons plus forts que lui et tirerons vengeance de lui ! »
- Et toi, la dévastée, que vas-tu faire ? Même si tu t'habilles de pourpre, te pares de joyaux d'or et t'agrandis les yeux à force de fard, c'est en vain que tu te fais belle ! Ceux qui étaient épris de toi te dédaignent, ils en veulent à ta vie.
- Quand sèchent les branches on les brise, des femmes viennent et y mettent le feu. Or ce peuple n'est pas intelligent, aussi son créateur n'aura pas pitié de lui, celui qui l'a modelé ne lui fera pas grâce.
- Oui, insensés sont les princes de Çoân, les plus sages conseillers du pharaon forment un conseil stupide. Comment osez-vous dire à Pharaon : « Je suis fils des sages, fils des rois de jadis ? »
- la ruine est au-dedans ; jamais de sa grand-place ne s'éloignent fraude et tyrannie.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV