- Elle nous talonnait, Paul et nous, en criant : « Ces hommes sont les serviteurs du Dieu Très-Haut ; ils vous annoncent la voie du salut. » - Lire dans le contexte
Versets semblables
- D'une voix forte il crie : « Que me veux-tu, Jésus, Fils du Dieu Très-Haut ? Je t'adjure par Dieu, ne me tourmente pas. »
- Alors le roi se leva au petit matin, dès l'aube, et il alla en hâte à la fosse aux lions.
- « Béni et loué sois-tu, Seigneur, Dieu de nos pères et que ton nom soit glorifié à jamais !
- Tu as exécuté de justes sentences en tout ce que tu nous as infligé, à nous et à la ville sainte de nos pères, Jérusalem. Car tu nous as infligé tout cela selon la vérité et le droit, à cause de nos péchés.
- Comportez-vous en hommes libres, sans utiliser la liberté comme un voile pour votre méchanceté, mais agissez en serviteurs de Dieu.
- Des démons aussi sortaient d'un grand nombre en criant : « Tu es le Fils de Dieu ! » Alors, leur commandant sévèrement, il ne leur permettait pas de parler, parce qu'ils savaient qu'il était le Christ.
- Jésus lui dit : « Je suis le chemin et la vérité et la vie. Personne ne va au Père si ce n'est par moi.
- « Ah ! que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? Tu es venu pour nous perdre. Je sais qui tu es : le Saint de Dieu. »
- Il leur répondit : « Je suis hébreu, et c'est le SEIGNEUR Dieu du ciel que je vénère, celui qui a fait la mer et les continents. »
- pour donner à son peuple la connaissance du salut par le pardon des péchés.
- Ils viennent lui dire : « Maître, nous savons que tu es franc et que tu ne te laisses pas influencer par qui que ce soit : tu ne tiens pas compte de la condition des gens, mais tu enseignes les chemins de Dieu selon la vérité. Est-il permis, oui ou non, de payer le tribut à César ? Devons-nous payer ou ne pas payer ? »
- « Que nous veux-tu, Jésus de Nazareth ? tu es venu pour nous perdre. Je sais qui tu es : le Saint de Dieu. »
- Ils lui envoient leurs disciples, avec les Hérodiens, pour lui dire : « Maître, nous savons que tu es franc et que tu enseignes les chemins de Dieu en toute vérité, sans te laisser influencer par qui que ce soit, car tu ne tiens pas compte de la condition des gens.
- Pitié, Dieu ! aie pitié de moi, car je t'ai pris pour refuge ; et je me réfugie à l'ombre de tes ailes, tant que dure le malheur.
- O roi ! Le Dieu très-haut avait accordé la royauté, la grandeur, la gloire et la majesté à Nabuchodonosor ton père ;
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