- Les auditeurs de Paul rendaient gloire à Dieu et lui dirent : « Tu peux voir, frère, combien de milliers de fidèles il y a parmi les Juifs, et tous sont d'ardents partisans de la Loi. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- Car, j'en suis témoin, ils ont du zèle pour Dieu, mais c'est un zèle que n'éclaire pas la connaissance :
- je faisais des progrès dans le judaïsme, surpassant la plupart de ceux de mon âge et de ma race par mon zèle débordant pour les traditions de mes pères.
- « Je suis Juif, né à Tarse en Cilicie, mais c'est ici, dans cette ville, que j'ai été élevé et que j'ai reçu aux pieds de Gamaliel une formation strictement conforme à la Loi de nos pères. J'étais un partisan farouche de Dieu, comme vous l'êtes tous aujourd'hui,
- Certaines gens descendirent alors de Judée, qui voulaient endoctriner les frères : « Si vous ne vous faites pas circoncire selon la règle de Moïse, disaient-ils, vous ne pouvez pas être sauvés. »
- A ces mots les auditeurs retrouvèrent leur calme et ils rendirent gloire à Dieu : « Voilà que Dieu a donné aussi aux nations païennes la conversion qui mène à la vie ! »
- Des fidèles issus du pharisaïsme intervinrent alors pour soutenir qu'il fallait circoncire les païens et leur prescrire d'observer la loi de Moïse.
- Il leur proposa une autre parabole : « Le Royaume des cieux est comparable à un grain de moutarde qu'un homme prend et sème dans son champ.
- La parole de Dieu croissait et le nombre des disciples augmentait considérablement à Jérusalem ; une multitude de prêtres obéissait à la foi.
- Sur des menaces renouvelées, on les relâcha, faute d'avoir trouvé moyen de les condamner. C'était à cause du peuple : car tout le monde rendait gloire à Dieu de ce qui s'était passé.
- Parmi les auditeurs de la Parole, beaucoup étaient devenus croyants ; leur nombre s'élevait à environ cinq mille personnes.
- Ceux qui accueillirent sa parole reçurent le baptême, et il y eut environ trois mille personnes ce jour-là qui se joignirent à eux.
- En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé qui tombe en terre ne meurt pas, il reste seul ; si au contraire il meurt, il porte du fruit en abondance.
- C'est que, comme descend la pluie ou la neige, du haut des cieux, et comme elle ne retourne pas là-haut sans avoir saturé la terre, sans l'avoir fait enfanter et bourgeonner, sans avoir donné semence au semeur et nourriture à celui qui mange,
- Est-ce que moi j'ouvrirais passage à la vie pour ne pas faire enfanter ? — dit le SEIGNEUR. Est-ce que moi, qui fais enfanter, j'imposerais à la vie une contrainte ? — dit ton Dieu.
- Qu'il se fasse un nom éternel, qu'il le propage sous le soleil, afin qu'on se bénisse l'un l'autre en le nommant et que toutes les nations le disent bienheureux.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV