- J'ai constaté que l'accusation se rapportait à des points contestés de leur Loi, mais qu'il n'y avait aucune charge qui entraînât la mort ou les chaînes. - Lire dans le contexte
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- En se retirant, ils parlaient entre eux : « Cet homme, disaient-ils, n'a rien fait qui mérite la mort ni les chaînes. »
- Mais puisqu'il s'agit de contestations sur des mots et des noms et sur votre propre Loi, à vous de voir ! Etre juge, moi, en ces matières, je m'y refuse. »
- Pour moi, j'ai reconnu qu'il n'a rien fait qui mérite la mort ; cependant, comme il en a lui-même appelé à l'auguste empereur, j'ai décidé de le lui envoyer.
- Enquête faite, ceux-ci voulaient me relâcher, parce qu'il n'y avait rien en moi qui méritât la mort.
- Ils avaient seulement avec lui je ne sais quelles contestations touchant leur religion à eux et touchant un certain Jésus, qui est mort, et que Paul affirme être en vie.
- Mais si je suis réellement coupable, si j'ai commis quelque crime qui mérite la mort, je ne refuse pas de mourir. Si, par contre, il n'y a rien de fondé dans les accusations de ces gens-là contre moi, nul n'a le droit de me céder à eux. J'en appelle à César ! »
- Quand celui-ci fut arrivé, les Juifs descendus de Jérusalem l'entourèrent, portant contre lui des accusations multiples et graves, qu'ils n'étaient pas capables de prouver.
- Tu peux t'en assurer : il n'y a pas plus de douze jours que je suis monté en pèlerinage à Jérusalem,
- Cet homme, nous l'avons constaté, est une peste : il suscite des désordres chez tous les Juifs du monde entier, et c'est un meneur du parti des Nazôréens.
- Paul savait qu'il y avait là d'un côté le parti des Sadducéens, de l'autre celui des Pharisiens. Il s'écria donc dans le Sanhédrin : « Frères, je suis, moi, Pharisien, fils de Pharisiens. C'est pour notre espérance, la résurrection des morts, que je suis mis en jugement. »
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