- Mais si je suis réellement coupable, si j'ai commis quelque crime qui mérite la mort, je ne refuse pas de mourir. Si, par contre, il n'y a rien de fondé dans les accusations de ces gens-là contre moi, nul n'a le droit de me céder à eux. J'en appelle à César ! » - Lire dans le contexte
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- Mais comme les Juifs s'y opposaient, j'ai été contraint d'en appeler à César, sans pourtant vouloir accuser en rien ma nation.
- Agrippa, lui, dit à Festus : « On aurait pu relâcher cet homme s'il n'en avait appelé à César. »
- Pour moi, j'ai reconnu qu'il n'a rien fait qui mérite la mort ; cependant, comme il en a lui-même appelé à l'auguste empereur, j'ai décidé de le lui envoyer.
- ces gens-là ont mis à mort Jésus le Seigneur et les prophètes, ils nous ont persécutés, ils ne plaisent pas à Dieu, ils sont ennemis de tous les hommes
- Mais Paul ayant interjeté appel pour que son cas fût réservé au jugement de l'auguste empereur, j'ai ordonné de le garder jusqu'à ce que je l'envoie à César. »
- Mais Paul répliqua : « Je suis devant le tribunal de César ; c'est là que je dois être jugé. Je n'ai fait aucun tort aux Juifs, tu le sais très bien toi-même.
- Quand on l'eut attaché avec les courroies, Paul dit au centurion de service : « Un citoyen romain, et qui n'a même pas été jugé, vous est-il permis de lui appliquer le fouet ? »
- Paul allait ouvrir la bouche, quand Gallion dit aux Juifs : « S'il était question de quelque délit ou méfait, j'accueillerais, Juifs, votre plainte, comme de raison.
- Mais Paul dit aux licteurs : « Ils nous ont fait battre en public et sans jugement, nous, des citoyens romains, et ils nous ont jetés en prison. Et maintenant, c'est à la dérobée qu'ils nous font sortir ! Eh bien, non ! Qu'ils viennent eux-mêmes nous libérer. »
- qu'il n'emporte comme un lion mon âme, lui qui déchire, et personne qui délivre !
- Si ma terre crie vengeance contre moi et que ses sillons pleurent avec elle,
- Ai-je agité la main contre un orphelin, me sachant soutenu à la Porte ?
- David se dit en lui-même : « Un de ces jours, je vais périr par la main de Saül, je n'ai rien de mieux à faire que de me sauver au pays des Philistins. Saül renoncera à me traquer encore dans tout le territoire d'Israël et j'échapperai à sa main. »
- Me voici ! Témoignez contre moi devant Yahvé et devant son oint : de qui ai-je pris le boeuf et de qui ai-je pris l'âne ? Qui ai-je frustré et qui ai-je opprimé ? De qui ai-je reçu une compensation pour que je ferme les yeux ? Je vous restituerai. »
- « Le Dieu des dieux, Yahvé, le Dieu des dieux, Yahvé le sait bien, et Israël doit le savoir : s'il y a eu de notre part rébellion ou infidélité à l'égard de Yahvé, qu'il refuse de nous sauver aujourd'hui,
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