- Alors le commandant du Temple partit avec ses hommes et ramena les apôtres, mais sans violence, car ils craignaient le peuple, qui aurait pu les lapider. - Lire dans le contexte
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- et personne d'autre n'osait se joindre à eux, mais le peuple célébrait leurs louanges.
- Cependant, après de nouvelles menaces, ils les relâchèrent, ne voyant pas comment les punir, à cause du peuple : car tout le monde glorifiait Dieu de ce qui s'était passé.
- Il avait même voulu le tuer, mais avait craint la foule, parce qu'on le tenait pour un prophète.
- Et si nous disons : "Des hommes", nous avons à craindre la foule, car tous tiennent Jean pour un prophète. »
- Ils disaient toutefois : « Pas en pleine fête ; il faut éviter un tumulte parmi le peuple. »
- Et si nous disons : "Des hommes", tout le peuple nous lapidera, car il est persuadé que Jean est un prophète. »
- Les scribes et les grands prêtres cherchèrent à porter les mains sur lui à cette heure même, mais ils eurent peur du peuple. Ils avaient bien compris, en effet, que c'était pour eux qu'il avait dit cette parabole.
- Et les grands prêtres et les scribes cherchaient comment le tuer, car ils avaient peur du peuple.
- A cette nouvelle, le commandant du Temple et les grands prêtres, tout perplexes à leur sujet, se demandaient ce que cela pouvait bien signifier.
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