- Ses frères, supposait-il, comprendraient que c'était Dieu qui, par sa main, leur apportait le salut ; mais ils ne le comprirent pas. - Lire dans le contexte
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- Mais le peuple dit à Saül : « Est-ce que Jonathan va mourir, lui qui a opéré cette grande victoire en Israël ? Gardons-nous-en ! Aussi vrai que Yahvé est vivant, il ne tombera pas à terre un cheveu de sa tête, car c'est avec Dieu qu'il a agi aujourd'hui ! » Ainsi le peuple racheta Jonathan et il ne mourut pas.
- Et puisque nous sommes ses coopérateurs, nous vous exhortons encore à ne pas recevoir en vain la grâce de Dieu.
- C'est par la grâce de Dieu que je suis ce que je suis, et sa grâce à mon égard n'a pas été stérile. Loin de là, j'ai travaillé plus qu'eux tous : oh ! Non pas moi, mais la grâce de Dieu qui est avec moi.
- Car nous sommes les coopérateurs de Dieu ; vous êtes le champ de Dieu, l'édifice de Dieu.
- Car je n'oserais parler de ce que le Christ n'aurait pas fait par moi pour obtenir l'obéissance des païens, en parole et en oeuvre,
- Après les avoir salués, il se mit à exposer par le détail ce que Dieu avait fait chez les païens par son ministère.
- Après une longue discussion, Pierre se leva et dit : « Frères, vous le savez : dès les premiers jours, Dieu m'a choisi parmi vous pour que les païens entendent de ma bouche la parole de la Bonne Nouvelle et embrassent la foi.
- Arrivés à Jérusalem, ils furent accueillis par l'Église, les apôtres et les anciens, et ils rapportèrent tout ce que Dieu avait fait avec eux.
- A leur arrivée, ils réunirent l'Église et se mirent à rapporter tout ce que Dieu avait fait avec eux, et comment il avait ouvert aux païens la porte de la foi.
- Mais eux ne saisirent rien de tout cela ; cette parole leur demeurait cachée, et ils ne comprenaient pas ce qu'il disait.
- Mais ils ne comprenaient pas cette parole ; elle leur demeurait voilée pour qu'ils n'en saisissent pas le sens, et ils craignaient de l'interroger sur cette parole.
- Mais ils ne comprenaient pas cette parole et ils craignaient de l'interroger.
- nos pères en Egypte n'ont pas compris tes merveilles. Ils n'eurent pas souvenir de ton grand amour, ils bravèrent le Très-Haut à la mer des Joncs.
- Naamân, chef de l'armée du roi d'Aram, était un homme en grande considération et faveur auprès de son maître, car c'était par lui que Yahvé avait accordé la victoire aux Araméens, mais cet homme était lépreux.
- Il a risqué sa vie, il abattu le Philistin et Yahvé a procuré une grande victoire à tout Israël : tu as vu et tu t'es réjoui. Pourquoi pécherais-tu par le sang d'un innocent en faisant mourir David sans raison ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV