- Pierre partit tout de suite avec eux. Aussitôt arrivé, on le fit monter à la chambre haute, où toutes les veuves en pleurs s'empressèrent autour de lui, lui montrant les tuniques et les manteaux que faisait Dorcas lorsqu'elle était avec elles. - Lire dans le contexte
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- La mémoire du juste est en bénédiction, le nom des méchants tombe en pourriture.
- Tromperie que la grâce ! Vanité, la beauté ! La femme qui craint Yahvé, voilà celle qu'il faut féliciter !
- Nous ne voulons pas, frères, que vous soyez ignorants au sujet des morts ; il ne faut pas que vous vous désoliez comme les autres, qui n'ont pas d'espérance.
- De toutes manières je vous l'ai montré : c'est en peinant ainsi qu'il faut venir en aide aux faibles et se souvenir des paroles du Seigneur Jésus, qui a dit lui-même : Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. »
- Lui prenant la main, Pierre la fit lever. Appelant alors les saints et les veuves, il la leur présenta vivante.
- Il y avait à Joppé parmi les disciples une femme du nom de Tabitha, en grec Dorcas. Elle était riche des bonnes oeuvres et des aumônes qu'elle faisait.
- Cependant des hommes dévots ensevelirent Étienne et firent sur lui de grandes lamentations.
- En ces jours-là, comme le nombre des disciples augmentait, il y eut des murmures chez les Hellénistes contre les Hébreux. Dans le service quotidien, disaient-ils, on négligeait leurs veuves.
- Quand j'étais avec eux, je les gardais dans ton nom que tu m'as donné. J'ai veillé et aucun d'eux ne s'est perdu, sauf le fils de perdition, afin que l'Écriture fût accomplie.
- Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous ; mais moi, vous ne m'aurez pas toujours. »
- Puis il leur dit : « Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. »
- Elle a fait ce qui était en son pouvoir : d'avance elle a parfumé mon corps pour l'ensevelissement.
- Les pauvres, en effet, vous les aurez toujours avec vous, mais moi, vous ne m'aurez pas toujours.
- nu et vous m'avez vêtu, malade et vous m'avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir."
- Tout ce que ta main trouve à faire, fais-le tant que tu en as la force, car il n'y a ni oeuvre, ni réflexion, ni savoir, ni sagesse dans le Shéol où tu t'en vas.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV