- Je vous ai frappés dans tout le travail de vos mains par la rouille, la nielle, la grêle, sans réussir à vous ramener vers moi — oracle du SEIGNEUR. - Lire dans le contexte
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- Le SEIGNEUR te frappera de consomption, de fièvre, d'inflammation, de brûlures, de sécheresse, de rouille et de nielle, qui te poursuivront jusqu'à ce que tu disparaisses.
- « Qu'il y ait la famine dans le pays, qu'il y ait la peste, qu'il y ait la rouille, la nielle, les sauterelles, les criquets, que l'ennemi assiège les villes du pays, quel que soit le fléau, quelle que soit la maladie,
- SEIGNEUR, tes yeux ne sont-ils pas dans l'attente de la vérité ? Tu les frappes, mais ils n'en sont pas touchés ; tu les extermines, mais ils refusent de recevoir la leçon. Ils se font un visage plus dur que la pierre, ils refusent de revenir.
- J'ai appelé la sécheresse sur la terre, sur les montagnes, sur le blé, le vin nouveau, l'huile fraîche et sur tout ce que produit le sol ; sur les hommes, les bêtes et sur tout le fruit de vos travaux. »
- Vous attendiez beaucoup, et maigre fut la récolte : quand vous l'avez rentrée chez vous, j'ai soufflé dessus. Pourquoi donc ? — oracle du SEIGNEUR, du tout-puissant : A cause de ma Maison qui, elle, est en ruine, alors que chacun de vous s'affaire auprès de sa propre maison.
- « Quand il y aura la famine dans le pays, qu'il y aura la peste, qu'il y aura la rouille, la nielle, les sauterelles ou les criquets, que ses ennemis assiégeront les villes de son pays, quel que soit le fléau, quelle que soit la maladie,
- Ainsi parle le SEIGNEUR : Arrêtez-vous sur les routes pour faire le point, renseignez-vous sur les sentiers traditionnels. Où est la route du bonheur ? Alors suivez-la et vous trouverez où vous refaire. Mais ils disent : « Nous ne la suivrons pas ! »
- Mais la Honte, depuis notre jeunesse, dévore le labeur de nos pères, — leur petit et leur gros bétail, leurs fils et leurs filles.
- Par sa droite et par son bras puissant le SEIGNEUR a garanti ce serment : Jamais plus je ne donnerai ton blé en nourriture à tes ennemis, jamais plus les fils de l'étranger ne boiront ton vin, celui pour lequel tu t'es fatiguée.
- Alors il a déversé sur Israël la fureur de sa colère, le déferlement de la guerre ; elle l'a incendié tout autour sans qu'il veuille rien reconnaître, elle l'a calciné en plein milieu sans qu'il prenne rien à coeur !
- Leurs habitants ont la main courte, ils sont consternés, confondus, ils sont comme l'herbe des champs et la verdure du gazon, comme les plantes qui poussent sur les toits et dans la campagne, avant maturation.
- Voici un puissant guerrier du Seigneur, semblable à un orage de grêle, à une tempête dévastatrice, à un orage qui fait déborder les eaux impétueuses : violemment, il couchera tout à terre.
- A la halte, l'un d'eux ouvrit son sac pour donner du fourrage à son âne et il vit son argent ! Voilà qu'il était à l'ouverture du sac à blé !
- Quant aux impies endurcis dans leur colère, eux n'implorent pas, lorsqu'il les enchaîne.
- Pendant qu'il était assiégé, lui, le roi Akhaz, il augmenta encore son impiété envers le SEIGNEUR :
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