- Car je sais combien nombreux sont vos crimes, énormes vos péchés, oppresseurs du juste, extorqueurs de rançons, vous qui, à la Porte, déboutez les pauvres. - Lire dans le contexte
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- Ainsi parle Yahvé : Pour trois crimes d'Israël et pour quatre, je l'ai décidé sans retour ! Parce qu'ils vendent le juste à prix d'argent et le pauvre pour une paire de sandales ;
- Mais ses fils ne suivirent pas son exemple : ils furent attirés par le gain, acceptèrent des présents et firent fléchir le droit.
- Ils haïssent quiconque réprimande à la Porte, ils abhorrent celui qui parle avec intégrité.
- ceux dont la parole porte condamnation, ceux qui tendent un piège à celui qui juge à la porte, et sans raison font débouter le juste.
- Tes princes sont des rebelles, complices de brigands, tous avides de présents, courant après les pots-de-vin. Ils ne font pas droit à l'orphelin, la cause de la veuve ne leur parvient pas.
- Si je sortais vers la porte de la ville, si j'installais mon siège sur la place,
- Quand on écrase et piétine tous les prisonniers d'un pays,
- C'est qu'ils ont accompli une infamie en Israël, ils ont commis l'adultère avec les femmes de leur prochain, ils ont prononcé en mon nom des paroles de mensonge sans que j'en aie donné l'ordre. Mais moi, je sais et je témoigne, oracle de Yahvé. »
- Mais moi je viendrai rassembler toutes les nations et toutes les langues, et elles viendront voir ma gloire.
- Eh bien, ces deux malheurs fondront sur toi, soudainement, en un jour, privation d'enfants et veuvage, tout à coup ils fondront sur toi, en dépit de tous tes sortilèges, de la puissance de tes incantations.
- Celui qui se conduit avec justice et parle loyalement, qui refuse un gain extorqué et repousse de la main le pot-de-vin, qui se bouche les oreilles pour ne pas entendre les propos sanguinaires, et ferme les yeux pour ne pas voir le mal,
- pour priver les faibles de justice et frustrer de leur droit les humbles de mon peuple, pour faire des veuves leur butin et dépouiller les orphelins.
- Or Booz était monté à la porte et s'y était assis, et voici que le parent dont Booz avait parlé vint à passer. « Toi, dit Booz, approche et assieds-toi ici. » L'homme s'approcha et vint s'asseoir.
- Ne joins pas mon âme aux égarés ni ma vie aux hommes de sang ;
- Ai-je agité la main contre un orphelin, me sachant soutenu à la Porte ?
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV