- j'y ferai tourner en deuil vos pèlerinages, en lamentations tous vos chants ; je mettrai sur tous les reins un sac, je raserai toutes les têtes ; je vous le ferai porter comme le deuil d'un fils unique, et ce qui s'ensuivra ressemblera à un jour d'amertume. - Lire dans le contexte
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- Toi, mon peuple, revêts le sac, roule-toi dans la poussière ! Comme pour un fils unique, fais tous les rites du deuil, une amère lamentation ! Car soudain vient sur nous le dévastateur. Israël métal inépurable
- Et je répandrai sur la maison de David et sur l'habitant de Jérusalem un esprit de bonne volonté et de supplication. Alors ils regarderont vers moi, celui qu'ils ont transpercé. Ils célébreront le deuil pour lui, comme pour le fils unique. Ils le pleureront amèrement comme on pleure un premier-né.
- Aussi toute tête est tondue et toute barbe rasée ; toutes les mains sont tailladées et tous les reins couverts de sacs ;
- Ils se ceindront de sacs, un frisson les saisira. Sur tous les visages, la honte et sur toutes les têtes, cheveux tondus.
- On monte au temple, à Divôn, sur les hauts lieux pour y pleurer. Sur le Nébo et à Madaba, Moab se lamente. Toutes les têtes sont rasées, toutes les barbes sont coupées.
- Il en sera à se remplir le ventre quand Dieu déchaînera sur lui sa colère. Elle pleuvra sur lui en guise de nourriture.
- C'est pourquoi je viendrai reprendre mon blé en son temps, mon vin nouveau en sa saison, j'arracherai ma laine et mon lin qui devaient cacher sa nudité.
- Ils font entendre leur voix à ton sujet, ils crient amèrement, ils se mettent de la poussière sur la tête, ils se roulent dans la cendre.
- Ce jour-là, le Seigneur DIEU, le tout-puissant, vous appelait à pleurer et à vous lamenter, à vous raser la tête et à ceindre le sac,
- Allongés sur des lits d'ivoire, vautrés sur leurs divans, ils se régalent de jeunes béliers et de veaux choisis dans les étables ;
- Les chants du temple gémiront, ce jour-là — oracle du Seigneur, mon DIEU — nombreux seront les cadavres, partout s'impose le silence. »
- Car ils ne sont plus que ronces entrelacées--et dans leurs beuveries, ils sont ivres : ils seront consumés comme du chaume bien sec, entièrement.
- Quand il arriva près de la porte de la ville, on portait tout juste en terre un mort, un fils unique dont la mère était veuve, et une foule considérable de la ville accompagnait celle-ci.
- Et maintenant, mes reins ne sont plus que frisson, des douleurs m'ont saisi comme les douleurs de celle qui enfante. Je suis trop tourmenté pour entendre, trop épouvanté pour voir.
- Absalom ordonna à ses domestiques : « Regardez bien ! Dès qu'Amnon aura le coeur en joie sous l'effet du vin et que je vous dirai : “Frappez Amnon ! ”, vous le mettrez à mort. N'ayez pas peur. Est-ce que ce n'est pas moi qui vous l'ordonne ? Courage et montrez-vous vaillants ! »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV