- La Grande Cité se scinda en trois parties, et les cités des nations croulèrent ; et Babylone la grande, Dieu s'en souvint pour lui donner la coupe où bouillonne le vin de sa colère. - Lire dans le contexte
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- Car ses péchés se sont amoncelés jusqu'au ciel, et Dieu s'est souvenu de ses iniquités.
- Et cette femme-là, c'est la Grande Cité, celle qui règne sur les rois de la terre. »
- Un Ange puissant prit alors une pierre, comme une grosse meule, et la jeta dans la mer en disant : « Ainsi, d'un coup, on jettera Babylone, la grande cité, on ne la verra jamais plus... »
- retenus à distance par peur de son supplice : « Hélas, hélas ! Immense cité, ô Babylone, cité puissante, car une heure a suffi pour que tu sois jugée ! »
- « Hélas, hélas ! Immense cité, vêtue de lin, de pourpre et d'écarlate, parée d'or, de pierres précieuses et de perles,
- Il s'écria d'une voix puissante : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la Grande ; elle s'est changée en demeure de démons, en repaire pour toutes sortes d'esprits impurs, en repaire pour toutes sortes d'oiseaux impurs et dégoûtants.
- Sur son front, un nom était inscrit - un mystère ! - « Babylone la Grande, la mère des prostituées et des abominations de la terre. »
- Un autre Ange, un deuxième, le suivit en criant : « Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la Grande, elle qui a abreuvé toutes les nations du vin de la colère. »
- Et leurs cadavres, sur la place de la Grande Cité, Sodome ou Égypte comme on l'appelle symboliquement, là où leur Seigneur aussi fut crucifié,
- Et aussitôt, la parole s'accomplit en Nabuchodonosor : il fut chassé d'entre les hommes ; comme les boeufs, il mangea de l'herbe, son corps fut baigné de la rosée du ciel, et ses cheveux poussèrent comme des plumes d'aigle et ses ongles comme des griffes d'oiseau.
- tous les rois du Nord, proches ou lointains, l'un après l'autre, et tous les royaumes qui sont sur la terre. Quant au roi de Shéshak, il boira après eux.
- Car Yahvé, Dieu d'Israël, me parla ainsi : Prends de ma main cette coupe de vin de colère et fais-la boire à toutes les nations vers lesquelles je vais t'envoyer ;
- Réveille-toi, réveille-toi, debout ! Jérusalem. Toi qui as bu de la main de Yahvé la coupe de sa colère. C'est un calice, une coupe de vertige que tu as bue, que tu as vidée.
- A tes oppresseurs je ferai manger leur propre chair, comme de vin nouveau ils s'enivreront de leur sang. Et toute chair saura que moi, Yahvé, je suis ton sauveur, que ton rédempteur, c'est le Puissant de Jacob.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV