- La mer rendit ses morts, la mort et l'Hadès rendirent leurs morts, et chacun fut jugé selon ses oeuvres. - Lire dans le contexte
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- Et je vis : c'était un cheval blême. Celui qui le montait, on le nomme « la mort », et l'Hadès le suivait. Pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour tuer par l'épée, la famine, la mort et les fauves de la terre.
- Que tout ceci ne vous étonne plus ! L'heure vient où tous ceux qui gisent dans les tombeaux entendront sa voix,
- Voici ce que j'affirme, frères : la chair et le sang ne peuvent hériter du Royaume de Dieu, ni la corruption hériter de l'incorruptibilité.
- Et je vis les morts, les grands et les petits, debout devant le trône, et des livres furent ouverts. Un autre livre fut ouvert : le livre de vie, et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans les livres.
- Tes morts revivront, leurs cadavres ressusciteront. Réveillez-vous, criez de joie, vous qui demeurez dans la poussière ! Car ta rosée est une rosée de lumière, et la terre aux trépassés rendra le jour.
- Alors la mort et l'Hadès furent précipités dans l'étang de feu. L'étang de feu, voilà la seconde mort !
- Je devrais les racheter à l'emprise du séjour des morts ? De la mort je devrais les garantir ? — Mort, où sont tes calamités ? Séjour des morts, où est ton fléau ? Toute pitié se dérobe à mes yeux.
- et le Vivant ; je fus mort, et voici, je suis vivant pour les siècles des siècles, et je tiens les clés de la mort et de l'Hadès.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV