- Alors surgit un autre cheval, rouge feu. A celui qui le montait fut donné le pouvoir de ravir la paix de la terre pour qu'on s'entre-tue, et il lui fut donné une grande épée. - Lire dans le contexte
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- Le premier char était attelé de chevaux roux ; le second, de chevaux noirs ;
- J'ai eu cette nuit une vision : c'était un homme monté sur un cheval roux ; il se tenait parmi les myrtes, dans la profondeur, et derrière lui il y avait des chevaux roux, alezans et blancs.
- « N'allez pas croire que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais bien le glaive.
- Et je vis la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. A sa vue je restai confondu.
- Alors il me transporta en esprit au désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, couverte de noms blasphématoires, et qui avait sept têtes et dix cornes.
- Qui est destiné à la captivité ira en captivité. Qui est destiné à périr par le glaive périra par le glaive. C'est l'heure de la persévérance et de la foi des saints.
- Alors un autre signe apparut dans le ciel : C'était un grand dragon rouge feu. Il avait sept têtes et dix cornes et, sur ses têtes, sept diadèmes.
- Mais Jésus lui répondit : « Tu n'aurais sur moi aucun pouvoir s'il ne t'avait été donné d'en haut ; et c'est bien pourquoi celui qui m'a livré à toi porte un plus grand péché. »
- et à cause de la grandeur qu'il lui avait accordée, les gens de tous peuples, nations et langues tremblaient de crainte en sa présence : il tuait qui il voulait et laissait vivre qui il voulait ; il élevait qui il voulait, et abaissait qui il voulait.
- Toi, ô roi, roi des rois ; toi à qui le Dieu du ciel a donné la royauté, la puissance, la force et la gloire ;
- Mais je fortifierai les bras du roi de Babylone et je lui mettrai mon épée dans la main ; je briserai les bras du Pharaon qui poussera les gémissements d'un homme blessé à mort.
- « Fils d'homme, Nabuchodonosor, roi de Babylone, a soumis son armée à un grand effort contre Tyr : toutes les têtes sont chauves, toutes les épaules écorchées, mais il n'a pas trouvé à Tyr de salaire pour lui ni pour son armée, en récompense de l'effort qu'il avait fourni contre la ville.
- Ne sais-tu pas que depuis longtemps j'ai fait ce projet, que depuis les temps anciens je l'ai formé ? A présent, je le réalise : il t'appartient de réduire en tas de pierres les villes fortifiées.
- Malheur à l'Assyrie, gourdin de ma colère ; ce bâton dans sa main, c'est mon indignation.
- Lève-toi SEIGNEUR ! Affronte-le, fais-le plier ! Par ton épée, libère-moi du méchant !
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV