- Tes deux seins, deux faons, jumeaux d'une gazelle, qui paissent parmi les lis. - Lire dans le contexte
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- Ton nombril forme une coupe, que les vins n'y manquent pas ! Ton ventre, un monceau de froment, de lis environné.
- Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ! Il paît son troupeau parmi les lis.
- Mon bien-aimé est à moi, et moi à lui. Il paît son troupeau parmi les lis.
- Je suis un mur, et mes seins en figurent les tours. Aussi ai-je à leurs yeux trouvé la paix.
- biche aimable, gracieuse gazelle ! En tout temps que ses seins t'enivrent, sois toujours épris de son amour !
- Comme des enfants nouveau-nés désirez le lait non frelaté de la parole, afin que, par lui, vous croissiez pour le salut,
- Réjouissez-vous avec Jérusalem, exultez en elle, vous tous qui l'aimez, soyez avec elle dans l'allégresse, vous tous qui avez pris le deuil sur elle,
- Ah que ne m'es-tu un frère, allaité au sein de ma mère ! Te rencontrant dehors, je pourrais t'embrasser, sans que les gens me méprisent.
- Que tu es belle, que tu es charmante, ô amour, ô délices !
- Mon bien-aimé est un sachet de myrrhe, qui repose entre mes seins.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV