- Mais voici que quelqu'un, ayant la ressemblance des fils d'homme, me toucha les lèvres ; j'ouvris la bouche et me mis à parler. Je dis à celui qui se tenait devant moi : « Monseigneur, à cause de l'apparition, des angoisses m'ont saisi et je n'ai conservé aucune force. - Lire dans le contexte
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- Il m'en toucha la bouche et dit : « Dès lors que ceci a touché tes lèvres, ta faute est écartée, ton péché est effacé. »
- Or, tandis que moi, Daniel, je regardais cette vision et cherchais à la comprendre, voici que se tint devant moi comme une apparence d'homme.
- Il vint près de l'endroit où je me tenais ; et tandis qu'il venait, je fus terrifié et me jetai face contre terre. Il me dit : « Comprends, fils d'homme, car la vision est pour le temps de la fin. »
- Le SEIGNEUR, avançant la main, toucha ma bouche, et le SEIGNEUR me dit : « Ainsi je mets mes paroles dans ta bouche.
- Alors moi, Daniel, je défaillis, et je fus malade, pendant des jours. Puis je me levai et m'occupai des affaires du roi. J'étais terrifié à cause de la vision, et personne ne le comprenait.
- Mon esprit à moi, Daniel, fut angoissé au-dedans de son enveloppe, et les visions de mon esprit me tourmentaient.
- Ici prend fin le récit. Pour moi Daniel, mes réflexions me tourmentèrent beaucoup ; mes couleurs en furent altérées, et je gardai la chose dans mon coeur.
- — « Non, dit-il, mais je suis le chef de l'armée du SEIGNEUR. Maintenant je viens. » Alors Josué se jeta face contre terre, se prosterna et lui dit : « Que dit mon seigneur à son serviteur ? »
- Car en beaucoup de sagesse, il y a beaucoup d'affliction ; qui augmente le savoir augmente la douleur.
- La main du SEIGNEUR, qui avait été sur moi le soir précédant la venue du rescapé, m'ouvrit la bouche au moment où il arriva vers moi, le matin. Ma bouche s'ouvrit, je ne fus plus muet.
- Alors Manoah implora le SEIGNEUR et dit : « De grâce, Seigneur, que l'homme de Dieu que tu as envoyé vienne encore vers nous et qu'il nous enseigne ce que nous devons faire pour le garçon lorsqu'il sera né. »
- Je levai les yeux et regardai, et voici qu'il y avait un homme vêtu de lin ; il avait une ceinture d'or d'Oufaz autour des reins.
- Je restai donc seul et regardai cette grande apparition. Il ne me resta aucune force ; mes traits bouleversés se décomposèrent et je ne conservai aucune force.
- Comment ce serviteur de monseigneur pourrait-il parler à monseigneur que voici, alors qu'il ne subsiste en moi aucune force et qu'il ne me reste pas de souffle ? »
- J'entendis mais ne compris pas et je dis : « Monseigneur, quel sera le terme de ces choses ? »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV