- Mon esprit à moi, Daniel, fut angoissé au-dedans de son enveloppe, et les visions de mon esprit me tourmentaient. - Lire dans le contexte
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- Ici prend fin le récit. Pour moi Daniel, mes réflexions me tourmentèrent beaucoup ; mes couleurs en furent altérées, et je gardai la chose dans mon coeur.
- sachant qu'il est proche pour moi le moment de la séparation, comme notre Seigneur Jésus Christ me l'a fait connaître ;
- j'ai au coeur une grande tristesse et une douleur incessante.
- Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, il pleura sur elle.
- J'ai entendu et je suis profondément bouleversé. A ce bruit, mes lèvres balbutient, je suis tout décomposé. Je reste sur place, bouleversé. Car je dois attendre sans bouger le jour de la détresse, pour monter vers le peuple qui nous assaille.
- Alors moi, Daniel, je défaillis, et je fus malade, pendant des jours. Puis je me levai et m'occupai des affaires du roi. J'étais terrifié à cause de la vision, et personne ne le comprenait.
- En l'an premier de Belshassar, roi de Babylone, Daniel vit un songe et les visions de son esprit sur sa couche. Alors il écrivit le songe. Début de récit.
- A la fin entra Daniel, surnommé Beltshassar selon le nom de mon dieu, qui avait en lui un esprit des dieux saints. Je dis le songe en sa présence :
- Le roi leur dit : « J'ai eu un songe, et mon esprit est anxieux de connaître ce songe. »
- En l'an deux du règne de Nabuchodonosor, Nabuchodonosor eut des songes. Son esprit fut anxieux et son sommeil le quitta.
- Moi, je n'ai pas abondé dans ton sens en hâtant le malheur, le jour fatal, je ne l'ai pas souhaité, toi, tu le sais : ce qui est sorti de ma bouche a été exprimé en ta présence.
- Je ne vais pas chercher ma joie en fréquentant ceux qui s'amusent. Contraint par ta main je reste à l'écart, car tu m'as rempli d'indignation.
- Au matin, le Pharaon, l'esprit troublé, fit appeler tous les prêtres et tous les sages d'Egypte. Il leur raconta ses songes, mais personne ne put les interpréter au Pharaon.
- Il interrogea donc les eunuques du Pharaon qui étaient avec lui aux arrêts dans la maison de son maître : « Pourquoi avez-vous triste mine aujourd'hui ? »
- Je m'avançai vers l'ange et le priai de me donner le petit livre. Il me dit : Prends et mange-le. Il sera amer à tes entrailles, mais dans ta bouche il aura la douceur du miel.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV