- Enfin, je n'ai rien refusé ? mes yeux de tout ce qu'ils ont demandé, et je n'ai épargné aucune joie ? mon coeur; car mon coeur s'est réjoui de tout mon travail; et c'est l? tout ce que j'ai eu de tout mon travail. - Lire dans le contexte
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- Vis joyeusement tous les jours de la vie de ta vanité avec la femme que tu as aimée, et qui t'a été donnée sous le soleil pour tous les jours de ta vanité; car c'est l? ta portion dans cette vie, et ce qui te revient de ton travail que tu fais sous le soleil.
- Voil? donc ce que j'ai vu, que c'est une chose bonne et agréable ? l'homme, de manger et de boire, et de jouir du bien de tout son travail qu'il aura fait sous le soleil, durant les jours de sa vie, lesquels Dieu lui a donnés; car c'est l? sa portion.
- J'ai donc connu qu'il n'y a rien de meilleur ? l'homme que de se réjouir en ce qu'il fait; parce que c'est l? sa portion; car qui est-ce qui le ram?nera pour voir ce qui sera apr?s lui?
- Car tu mangeras du travail de tes mains; tu seras bienheureux, et tu prospéreras.
- Car qu'est-ce que l'homme a de tout son travail, et du rongement de son coeur, dont il se travaille sous le soleil?
- Car tout ce qui est au monde, c'est-?-dire, la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l'orgueil de la vie, n'est point du P?re, mais est du monde.
- Mieux vaut ce qu'on voit de ses yeux, que si l'?me fait de grandes recherches; cela aussi est une vanité, et un rongement d'esprit.
- Jetteras-tu tes yeux sur ce qui bient?t n'est plus? car certainement il se fera des ailes; il s'envolera, comme un aigle dans les cieux.
- Détourne mes yeux qu'ils ne regardent ? la vanité; fais-moi revivre par le moyen de tes voies.
- J'avais fait accord avec mes yeux; comment aurais-je donc arr?té mes regards sur une vierge?
- Et étant remonté en sa maison il le déclara ? son p?re et ? sa m?re, en disant: J'ai vu une femme ? Timna d'entre les filles des Philistins; maintenant donc prenez-la, afin qu'elle soit ma femme.
- Les fils de Dieu voyant que les filles des hommes étaient belles, prirent pour leurs femmes de toutes celles qu'ils choisirent.
- La femme donc voyant que le fruit de l'arbre était bon ? manger, et qu'il était agréable ? la vue, et que cet arbre était désirable pour donner de la science, en prit du fruit, et en mangea, et elle en donna aussi ? son mari qui était avec elle, et il en mangea.
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