- J'ai délibéré en mon coeur de traîner ma chair dans le vin et tout en conduisant mon coeur avec sagesse, de tenir à la sottise, le temps de voir ce qu'il est bon pour les fils d'Adam de faire sous le ciel pendant les jours comptés de leur vie. - Lire dans le contexte
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- j'ai eu à coeur de connaître la sagesse et de connaître la folie et la sottise ; j'ai connu que cela aussi, c'est poursuite de vent.
- Le vin est moqueur, l'alcool tumultueux ; quiconque se laisse enivrer par eux ne pourra être sage.
- Ne vous enivrez pas de vin, il mène à la perdition, mais soyez remplis de l'Esprit.
- Fin du discours : Tout a été entendu. Crains Dieu et observe ses commandements, car c'est là tout l'homme :
- En effet, qui sait ce qui est le mieux pour l'homme pendant l'existence, pendant les nombreux jours de sa vaine existence qu'il passe comme une ombre ? Qui indiquera donc à l'homme ce qui sera après lui sous le soleil ?
- Aux rois, Lemouël, aux rois le vin ne convient pas ni aux princes l'alcool.
- — mais l'homme qui meurt va-t-il revivre ? — tout le temps de ma corvée, j'attendrais, jusqu'à ce que vienne pour moi la relève.
- Quel accord entre Christ et Béliar ? Quelle relation entre le croyant et l'incrédule ?
- « Nul ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l'un et aimera l'autre, ou bien il s'attachera à l'un et méprisera l'autre. Vous ne pouvez servir Dieu et l'Argent.
- Avigaïl revint chez Naval. Voici qu'il faisait dans sa maison un festin, un vrai festin de roi. Naval avait le coeur en joie. Il était complètement ivre. Elle ne l'informa de rien jusqu'à l'aurore.
- Il est bon que tu tiennes à ceci sans laisser ta main lâcher cela. Car celui qui craint Dieu fera aboutir l'une et l'autre chose.
- Je sais qu'il n'y a rien de bon pour lui que de se réjouir et de se donner du bon temps durant sa vie.
- Rien de bon pour l'homme, sinon de manger et de boire, de goûter le bonheur dans son travail. J'ai vu, moi, que cela aussi vient de la main de Dieu.
- Pour qui les : « Ah ! » ? Pour qui les : « Hélas ! » ? Pour qui les querelles ? Pour qui les plaintes ? Pour qui les disputes sans raison ? Pour qui les yeux qui voient double ?
- Oui, devant ta fureur s'effacent tous nos jours ; le temps d'un soupir, nous avons achevé nos années :
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV