- Soit un homme qui engendre cent fois et vit de nombreuses années, mais qui, si nombreux soient les jours de ses années, ne se rassasie pas de bonheur et n'a même pas de sépulture. Je dis : L'avorton vaut mieux que lui, - Lire dans le contexte
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- Et plus heureux que les deux celui qui n'a pas encore été, puisqu'il n'a pas vu l'oeuvre mauvaise qui se pratique sous le soleil.
- ou comme un avorton enfoui je n'existerais pas, comme les enfants qui ne virent pas la lumière.
- On l'enterre comme on enterre un âne : on le traîne, on le jette au-delà des portes de Jérusalem.
- Ils allèrent pour l'ensevelir, mais ne retrouvèrent que le crâne, les pieds et les paumes des mains.
- Mais toi, tu as été jeté loin de ton sépulcre comme un exécrable avorton — couvert d'hommes tués, transpercés par l'épée, descendus sur les pierres de la fosse — comme un cadavre piétiné.
- — « La durée de mes migrations a été de cent trente ans ! répondit Jacob. Ce fut un temps bref et mauvais que les années de ma vie, elles n'ont pas atteint la durée des années qu'ont vécues mes pères au temps de leurs migrations. »
- Le Fils de l'homme s'en va selon ce qui est écrit de lui ; mais malheureux l'homme par qui le Fils de l'homme est livré ! Il aurait mieux valu pour lui qu'il ne fût pas né, cet homme-là ! »
- Eh bien ! ainsi parle le SEIGNEUR au sujet de Yoyaqim, roi de Juda : Il n'aura personne pour lui succéder sur le trône de David ; son cadavre sera exposé à la chaleur du jour et au froid de la nuit ;
- On les exposera au soleil, à la lune et à l'armée du ciel qu'ils avaient aimés, servis, suivis, consultés, et devant lesquels ils s'étaient prosternés ; ces ossements ne seront pas recueillis pour être ensevelis, ils deviendront du fumier sur le sol.
- Ce que, moi, je reconnais comme bien, le voici : il convient de manger et de boire, de goûter le bonheur dans tout le travail que l'homme fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui donne, car telle est sa part.
- La couronne des grands-parents, c'est leurs petits-enfants, et la parure des fils, leur père.
- Telles des flèches aux mains d'un guerrier, tels sont les fils de votre jeunesse.
- Akhab avait à Samarie soixante-dix fils. Jéhu écrivit des lettres, qu'il envoya à Samarie aux anciens, chefs d'Izréel, et aux précepteurs des fils d'Akhab pour leur dire :
- Roboam aima Maaka, fille d'Absalom, plus que toutes ses femmes et ses concubines ; car il eut dix-huit femmes et soixante concubines et il engendra vingt-huit fils et soixante filles.
- Et l'on pendit Haman au gibet qu'il avait préparé pour Mardochée. Alors la fureur du roi se calma.
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