- La lumière d'Israël deviendra un feu et son Saint une flamme, elle brûlera et consumera ses épines et ses ronces en un jour. - Lire dans le contexte
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- Or le peuple élevait une lamentation mauvaise aux oreilles de Yahvé, et Yahvé l'entendit. Sa colère s'enflamma et le feu de Yahvé s'alluma chez eux : il dévorait une extrémité du camp.
- - Je n'ai plus de muraille. Qui va me réduire en ronces et en épines ? - Dans la guerre, je la foulerai, je la brûlerai en même temps.
- Qui donc as-tu insulté, blasphémé ? Contre qui as-tu parlé haut et levé ton regard altier ? Vers le Saint d'Israël !
- C'est pourquoi, ainsi parle le Seigneur Yahvé : Voici, ma colère, ma fureur va se déverser sur ce lieu, sur les hommes et le bétail, sur les arbres de la campagne et les fruits du sol ; elle va brûler sans s'éteindre.
- Comme un fourré d'épines enchevêtrées ils seront dévorés, comme la paille sèche, entièrement.
- Circoncisez-vous pour Yahvé, ôtez le prépuce de votre coeur, gens de Juda et habitants de Jérusalem, sinon ma colère jaillira comme un feu, elle brûlera sans personne pour éteindre, à cause de la méchanceté de vos actions.
- comme le feu enflamme des brindilles, comme le feu fait bouillir l'eau - pour faire connaître ton nom à tes adversaires, devant ta face les nations trembleraient
- Tu n'auras plus le soleil comme lumière, le jour, la clarté de la lune ne t'illuminera plus : Yahvé sera pour toi une lumière éternelle, et ton Dieu sera ta splendeur.
- Cette même nuit, l'Ange de Yahvé sortit et frappa dans le camp assyrien cent quatre-vingt cinq mille hommes. Le matin, au réveil, ce n'étaient plus que des cadavres.
- Les pécheurs ont été terrifiés à Sion, un tremblement a saisi les impies. Qui de nous tiendra devant un feu dévorant ? Qui de nous tiendra devant des brasiers éternels ?
- Dans sa terreur il abandonnera son rocher, et ses chefs apeurés déserteront l'étendard. Oracle de Yahvé dont le feu est à Sion et la fournaise à Jérusalem.
- Voici que le nom de Yahvé vient de loin, ardente est sa colère, pesante sa menace. Ses lèvres débordent de fureur, sa langue est comme un feu dévorant.
- Mieux vaut un jour en tes parvis que mille à ma guise, rester au seuil dans la maison de mon Dieu qu'habiter la tente de l'impie.
- Mon Dieu, traite-les comme une roue d'acanthe, comme un fétu en proie au vent.
- il vient, notre Dieu, il ne se taira point. Devant lui, un feu dévore, autour de lui, bourrasque violente ;
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