- C'est pourquoi, ainsi parle le Seigneur Yahvé Sabaot : O mon peuple qui habites en Sion, n'aie pas peur d'Assur ! Il te frappe du bâton, il lève le gourdin contre toi sur le chemin d'Égypte ; - Lire dans le contexte
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- celui-ci leur dit : « Vous direz à votre maître : Ainsi parle Yahvé. N'aie pas peur des paroles que tu as entendues, des blasphèmes que les valets du roi d'Assyrie ont lancés contre moi.
- Les pécheurs ont été terrifiés à Sion, un tremblement a saisi les impies. Qui de nous tiendra devant un feu dévorant ? Qui de nous tiendra devant des brasiers éternels ?
- Oui, peuple de Sion, qui habites Jérusalem, tu n'auras plus à pleurer, car il va te faire grâce à cause du cri que tu pousses, dès qu'il l'entendra il te répondra.
- L'a-t-il frappé comme avaient frappé ceux qui le frappaient ? A-t-il assassiné comme avaient assassiné ses assassins ?
- Ne te réjouis pas, Philistie tout entière, de ce qu'est brisé le bâton qui te frappait. Car de la souche du serpent sortira une vipère, et son fruit sera un dragon volant.
- Pousse des cris de joie, des clameurs, habitante de Sion, car il est grand, au milieu de toi, le Saint d'Israël. Contre Babylone.
- Malheur à Assur, férule de ma colère ; c'est un bâton dans leurs mains que ma fureur.
- Car toute chaussure qui résonne sur le sol, tout manteau roulé dans le sang, seront mis à brûler, dévorés par le feu.
- « Vous n'appellerez pas complot tout ce que ce peuple appelle complot, vous ne partagerez pas ses craintes et vous n'en serez pas terrifiés.
- Le reste laissé à Sion, ce qui survit à Jérusalem, sera appelé saint, tout ce qui est inscrit pour la vie à Jérusalem.
- Mais de Sion l'on dira : « Tout homme y est né » et celui qui l'affermit, c'est le Très-Haut.
- Ta droite, Yahvé, s'illustre par sa force, ta droite, Yahvé, taille en pièces l'ennemi.
- Moïse étendit la main sur la mer, et Yahvé refoula la mer toute la nuit par un fort vent d'est ; il la mit à sec et toutes les eaux se fendirent.
- Les Égyptiens se lancèrent à leur poursuite et les rejoignirent alors qu'ils campaient au bord de la mer - tous les chevaux de Pharaon, ses chars, ses cavaliers et son armée - près de Pi-Hahirot, devant Baal-Çephôn.
- On frappa les scribes des Israélites, ceux que les surveillants de Pharaon leur avaient imposés en disant : « Pourquoi n'avez-vous pas terminé la quantité de briques prescrite, aujourd'hui comme hier et avant-hier ? »
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