- Mon coeur gémit sur Moab : Il y a des fuyards jusqu'à Çoar, Eglath-Shelishiya. La côte de Louhith, on la monte en pleurant et un cri déchirant réveille le chemin de Horonaïm. - Lire dans le contexte
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- La montée de Louhith, on la gravit tout en pleurs. A la descente de Horonaïm, on entend des appels venant du désastre.
- On crie : « Désastre sur désastre ! » Oui, tout le pays est dévasté. Soudain mon campement est dévasté, en un instant, mes tentes.
- Quand il approcha de la ville et qu'il l'aperçut, il pleura sur elle.
- Aussi, je hurle à cause de Moab. J'appelle au secours pour Moab tout entier. Je gémis sur les gens de Qir-Hèrès.
- Moi, je n'ai pas abondé dans ton sens en hâtant le malheur, le jour fatal, je ne l'ai pas souhaité, toi, tu le sais : ce qui est sorti de ma bouche a été exprimé en ta présence.
- Si vous n'écoutez pas je vais me désoler dans mon coin à cause d'une telle suffisance ; mes yeux vont pleurer, pleurer, fondre en pleurs : le troupeau du SEIGNEUR part en captivité !
- De Sion on entend une voix plaintive : « Ah ! comme nous sommes dévastés, accablés de honte ! Nous devons abandonner le pays : on a jeté bas nos habitations. »
- Je fais de Jérusalem un tas de pierres, un repaire de chacals, et des villes de Juda, des lieux désolés, vidés de leurs habitants.
- Mon affliction est sans remède, tout mon être est défaillant.
- Car c'est un jour d'effarement, d'effondrement et d'affolement de par le Seigneur DIEU, le tout-puissant. Dans le ravin de la vision, une muraille s'écroule, et des cris s'élèvent vers la montagne.
- Et maintenant, le SEIGNEUR dit : « D'ici trois ans — années de mercenaire —, l'élite de Moab et aussi toute sa multitude seront sans poids. Il en restera très peu, rien qui puisse compter. »
- Et maintenant je pleure avec Yazér sur les vignes de Sivma. Je vous arrose de mes larmes, Heshbôn et Eléalé, car sur vos vendanges et vos récoltes les cris de joie ont cessé.
- David montait par la montée des Oliviers, il montait en pleurant ; il avait la tête voilée et il marchait nu-pieds. Tout le peuple qui l'accompagnait s'était voilé la tête. Ils montaient, montaient en pleurant.
- Tout le pays pleurait à grands sanglots, et tout le peuple passait. Le roi passait dans le torrent du Cédron, et tout le peuple passait en face du chemin qui longe le désert.
- Réfugie-toi là-bas au plus vite, car je ne peux rien faire jusqu'à ce que tu y sois arrivé. » C'est pourquoi on appelle cette ville Çoar.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV