- C'est pourquoi, ce qu'ils ont pu sauver et leurs réserves, ils les portent au-delà du torrent des Saules. - Lire dans le contexte
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- Aussi mon coeur hulule sur Moab à la manière des flûtes ; mon coeur hulule sur les gens de Qir-Hérès à la manière des flûtes ; parce qu'il est perdu, le trésor amassé !
- Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion ;
- Son rugissement est celui d'une lionne, il rugit comme les lionceaux, il gronde et saisit sa proie, il l'emporte et nul ne le fait lâcher ;
- Contre une nation impie je l'envoyais, contre le peuple objet de mon emportement je le mandais, pour se livrer au pillage et rafler le butin, pour les piétiner comme la boue des rues.
- Ma main a cueilli, comme au nid, les richesses des peuples, et comme on ramasse des oeufs abandonnés, j'ai ramassé toute la terre ; pas un n'a battu des ailes, ni ouvert le bec pour pépier. »
- Oracle sur les bêtes du Négeb. Au pays d'angoisse et de détresse, de la lionne et du lion rugissant, de la vipère et du dragon volant, ils apportent sur l'échine des ânes leurs richesses, sur la bosse des chameaux leurs trésors, vers un peuple qui ne peut secourir :
- Où est la tanière des lions, la caverne des lionceaux ? Lorsque partait le lion, la lionne y restait, et les petits du lion ; nul ne les inquiétait.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV