- un tumulte de nations comme celui des grandes eaux. Il les menace, et elles fuient au loin, chassées comme la bale par le vent des montagnes, comme les coeurs de chardons par la tempête. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- car tu as défendu mon droit et ma cause ; tu t'es assis sur ton trône, juste juge.
- Et pourtant l'on dit : « Qu'ils soient comme paille au vent, comme balle qu'emporte la tempête ! »
- Tel n'est pas le sort des méchants : ils sont comme la bale que disperse le vent.
- Voici : je te dispose comme un traîneau-herse neuf et muni de crocs renforcés : tu vas triturer les montagnes et les déchiqueter, tu réduiras en bale les collines,
- La multitude de tes ennemis sera comme une poudre fine, la foule des tyrans comme la bale qui s'envole... Et tout à coup,
- Voici que le Seigneur DIEU, le tout-puissant, jette bas la ramure avec violence : ceux qui sont de haute stature sont abattus, les plus élevés sont mis à bas.
- Alors furent pulvérisés ensemble le fer, la céramique, le bronze, l'argent et l'or ; ils devinrent comme la bale sortant des aires en été : le vent les emporta et on n'en trouva plus aucune trace. Quant à la pierre qui avait frappé la statue, elle devint une grande montagne et remplit toute la terre.
- Parce que tu as tremblé de rage contre moi et que ton arrogance est montée à mes oreilles, je mettrai un anneau dans ton nez et un mors à tes lèvres : je te ramènerai par le chemin par lequel tu es venu.
- Le pays est en deuil, il dépérit. Le Liban perd la face, il se flétrit. Le Sharôn devient comme la Araba. Le Bashân et le Carmel se dégarnissent.
- Malheur ! toi qui dévastes et n'as pas été dévasté, toi qui surprends et qu'on n'a pas surpris. Quand tu auras cessé de dévaster, tu seras dévasté, quand tu auras fini d'agir par surprise, on te surprendra.
- L'Assyrie tombera sous une épée qui n'est pas celle d'un homme, ce n'est pas une épée humaine qui la dévorera. Elle s'enfuira devant l'épée, et ses jeunes guerriers seront soumis à la corvée.
- Le SEIGNEUR fera entendre sa voix majestueuse, et on verra s'abattre son bras, dans la violence de sa colère, dans la flamme d'un feu dévorant, dans une tornade de pluie et de grêle.
- Mais il est un fleuve dont les bras réjouissent la ville de Dieu, la plus sainte des demeures du Très-Haut.
- Est-ce que le pic se vante aux dépens de celui qui s'en sert pour tailler ? Est-ce que la scie se grandit aux dépens de celui qui la met en mouvement ? Comme si le gourdin faisait mouvoir celui qui le brandit, comme si le bâton soulevait celui qui n'est pas de bois ! »
- Je briserai l'Assyrie dans mon pays, je la piétinerai sur mes montagnes. A ceux qui le portaient, son joug sera enlevé, son fardeau sera enlevé de leurs épaules. »
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV