- Les nations grondent comme grondent les grandes eaux... Il les menace, et elles fuient au loin, Chassées comme la balle des montagnes au souffle du vent, Comme la poussière par un tourbillon. - Lire dans le contexte
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- Car tu soutiens mon droit et ma cause, Tu sièges sur ton trône en juste juge.
- Qu'ils soient comme la paille emportée par le vent, Comme la balle enlevée par le tourbillon?
- Il n'en est pas ainsi des méchants: Ils sont comme la paille que le vent dissipe.
- Voici, je fais de toi un traîneau aigu, tout neuf, Garni de pointes; Tu écraseras, tu broieras les montagnes, Et tu rendras les collines semblables à de la balle.
- La multitude de tes ennemis sera comme une fine poussière, Cette multitude de guerriers sera comme la balle qui vole, Et cela tout à coup, en un instant.
- Voici, le Seigneur, l'Éternel des armées, Brise les rameaux avec violence: Les plus grands sont coupés, Les plus élevés sont abattus.
- Alors le fer, l'argile, l'airain, l'argent et l'or, furent brisés ensemble, et devinrent comme la balle qui s'échappe d'une aire en été; le vent les emporta, et nulle trace n'en fut retrouvée. Mais la pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne, et remplit toute la terre.
- Parce que tu es furieux contre moi, Et que ton arrogance est montée à mes oreilles, Je mettrai ma boucle à tes narines et mon mors entre tes lèvres, Et je te ferai retourner par le chemin par lequel tu es venu.
- Le pays est dans le deuil, dans la tristesse; Le Liban est confus, languissant; Le Saron est comme un désert; Le Basan et le Carmel secouent leur feuillage.
- Malheur à toi qui ravages, et qui n'as pas été ravagé! Qui pilles, et qu'on n'a pas encore pillé! Quand tu auras fini de ravager, tu seras ravagé; Quand tu auras achevé de piller, on te pillera.
- Et l'Assyrien tombera sous un glaive qui n'est pas celui d'un homme, Et un glaive qui n'est pas celui d'un homme le dévorera; Il s'enfuira devant le glaive, Et ses jeunes guerriers seront asservis.
- Et l'Éternel fera retentir sa voix majestueuse, Il montrera son bras prêt à frapper, Dans l'ardeur de sa colère, Au milieu de la flamme d'un feu dévorant, De l'inondation, de la tempête et des pierres de grêle.
- Il est un fleuve dont les courants réjouissent la cité de Dieu, Le sanctuaire des demeures du Très Haut.
- La hache se glorifie-t-elle envers celui qui s'en sert? Ou la scie est-elle arrogante envers celui qui la manie? Comme si la verge faisait mouvoir celui qui la lève, Comme si le bâton soulevait celui qui n'est pas du bois!
- Je briserai l'Assyrien dans mon pays, Je le foulerai aux pieds sur mes montagnes; Et son joug leur sera ôté, Et son fardeau sera ôté de leurs épaules.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV