- Des peuples qui grondent comme grondent les grandes eaux. Il les menace, et elles s'enfuient au loin, chassées comme la bale des montagnes par le vent, comme un tourbillon par l'ouragan. - Lire dans le contexte
Versets semblables
- quand tu m'as rendu sentence et jugement, siégeant sur le trône en juste juge.
- Sont-ils comme la paille face au vent, comme la bale qu'emporte l'ouragan ?
- rien de tel pour les impies, rien de tel ! Mais ils sont comme la bale qu'emporte le vent.
- Voici que j'ai fait de toi un traîneau à battre, tout neuf, à doubles dents. Tu écraseras les montagnes, tu les pulvériseras, les collines, tu en feras de la paille.
- La horde de tes ennemis sera comme des grains de poussière, la horde des guerriers, comme la bale qui s'envole. Et soudain, en un instant,
- Voici que le Seigneur Yahvé Sabaot émonde la frondaison avec violence, les plus hautes cimes sont coupées, les plus fières sont abaissées.
- Alors se brisèrent, tout à la fois, fer et argile, bronze, argent et or, devenus semblables à la bale sur l'aire en été ; le vent les emporta sans laisser de traces. Et la pierre qui avait frappé la statue devint une grande montagne qui remplit toute la terre.
- Parce que tu t'es emporté contre moi, que ton insolence est montée à mes oreilles, je passerai mon anneau à ta narine et mon mors à tes lèvres, je te ramènerai sur le chemin par lequel tu es venu.
- Endeuillée, la terre languit. Couvert de honte, le Liban se dessèche, Saron est devenue comme la steppe, Bashân et le Carmel frémissent.
- Malheur à toi qui détruis et n'es pas détruit, qui es traître alors qu'on ne te trahit pas ; quand tu auras fini de détruire, tu seras détruit, quand tu auras terminé tes trahisons, on te trahira.
- Assur tombera par l'épée, non celle d'un homme, il sera dévoré par l'épée, non celle d'un mortel. Il s'enfuira devant l'épée, et ses jeunes gens seront asservis.
- Yahvé fera entendre la majesté de sa voix, il fera sentir le poids de son bras, dans l'ardeur de sa colère accompagnée d'un feu dévorant, de la foudre, d'averses et de grêlons.
- Un fleuve ! Ses bras réjouissent la cité de Dieu, il sanctifie les demeures du Très-Haut.
- Fanfaronne-t-elle, la hache, contre celui qui la brandit ? Se glorifie-t-elle, la scie, aux dépens de celui qui la manie ? Comme si le bâton faisait mouvoir ceux qui le lèvent, comme si le gourdin levait ce qui n'est pas de bois !
- Je briserai Assur dans mon pays, je le piétinerai sur mes montagnes. Et son joug glissera de sur eux, son fardeau glissera de son épaule.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV