• Et maintenant, mes reins ne sont plus que frisson, des douleurs m'ont saisi comme les douleurs de celle qui enfante. Je suis trop tourmenté pour entendre, trop épouvanté pour voir. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Ils sont frappés d'épouvante, les crampes et les douleurs les saisissent, ils se tordent comme une femme en travail. Ils se regardent l'un l'autre avec stupeur, leurs visages sont en flammes.
  • Nous avons été devant toi, SEIGNEUR, comme une femme enceinte, près d'enfanter, qui se tord et crie dans les douleurs.
  • Ils ont vu : aussitôt, stupéfaits, épouvantés, ils détalèrent.
  • Quand les gens diront : « Quelle paix, quelle sécurité ! », c'est alors que soudain la ruine fondra sur eux comme les douleurs sur la femme enceinte, et ils ne pourront y échapper.
  • Maintenant, pourquoi pousses-tu des cris ? N'y a-t-il pas de roi chez toi ? Ton conseiller est-il perdu, que la douleur t'ait saisie comme la femme qui enfante ?
  • Qeriyoth est prise et Meçadoth conquise. Le coeur des vaillants de Moab sera, ce jour-là, comme le coeur d'une femme en travail.
  • Comme la harpe, mes entrailles frémissent sur Moab et mon coeur sur Qir-Hèrès.
  • J'ai entendu et je suis profondément bouleversé. A ce bruit, mes lèvres balbutient, je suis tout décomposé. Je reste sur place, bouleversé. Car je dois attendre sans bouger le jour de la détresse, pour monter vers le peuple qui nous assaille.
  • A l'instant même, surgirent des doigts de main d'homme : ils écrivaient devant le candélabre sur le plâtre du mur du palais royal, et le roi voyait le tronçon de main qui écrivait.
  • Le roi de Babylone apprend la nouvelle : il est démoralisé, l'angoisse l'étreint, une douleur comme celle d'une femme en couches.
  • C'est comme un vautour qui monte, qui plane, et qui déploie ses ailes sur Boçra. Le coeur des vaillants d'Edom sera, ce jour-là, comme le coeur d'une femme en travail.
  • Et maintenant je pleure avec Yazér sur les vignes de Sivma. Je vous arrose de mes larmes, Heshbôn et Eléalé, car sur vos vendanges et vos récoltes les cris de joie ont cessé.
  • Mon coeur gémit sur Moab : Il y a des fuyards jusqu'à Çoar, Eglath-Shelishiya. La côte de Louhith, on la monte en pleurant et un cri déchirant réveille le chemin de Horonaïm.
  • Le matin, tu diras : “Quand donc viendra le soir ? ”, et le soir, tu diras : “Quand donc viendra le matin ? ”, tellement ton coeur tremblera à force de regarder ce que tu auras sous les yeux.

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV