- Voici que Yahvé dévaste la terre et la ravage, il en bouleverse la face et en disperse les habitants. - Lire dans le contexte
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- Je vais ravager montagnes et collines, en flétrir toute la verdure ; je vais changer les torrents en terre ferme et dessécher les marécages.
- « Pillez l'argent ! Pillez l'or ! » Il n'y a pas de fin au trésor, une masse de tous objets précieux !
- La terre va chanceler, chanceler comme l'ivrogne, elle sera ébranlée comme une hutte, son crime pèsera sur elle, elle tombera et ne se relèvera plus.
- Et je dis : « Jusques à quand, Seigneur ? » Il me répondit : « Jusqu'à ce que les villes soient détruites et dépeuplées, les maisons inhabitées ; que le sol soit dévasté, désolé ;
- j'en ferai un maquis : elle ne sera ni taillée ni sarclée, ronces et épines y croîtront, j'interdirai aux nuages d'y faire tomber la pluie.
- Pour eux, ils iront dans les cavernes des rochers et dans les fissures du sol, devant la Terreur de Yahvé, devant l'éclat de sa majesté, quand il se lèvera pour faire trembler la terre.
- Votre pays est une désolation, vos villes sont la proie du feu, votre sol, sous vos yeux des étrangers le ravagent, c'est la désolation comme une dévastation d'étrangers.
- Yahvé protège l'étranger, il soutient l'orphelin et la veuve. Mais détourne la voie des impies,
- Souviens-toi cependant de la parole que tu prescrivis à Moïse ton serviteur : Si vous êtes infidèles, je vous disperserai parmi les peuples ;
- Je passerai sur Jérusalem le même cordeau que sur Samarie, le même niveau que pour la maison d'Achab, j'écurerai Jérusalem comme on écure un plat, qu'on retourne à l'envers après l'avoir écuré.
- Yahvé te dispersera parmi tous les peuples, d'un bout du monde à l'autre ; là tu serviras d'autres dieux, que tes pères ni toi n'avez connus, du bois et de la pierre.
- Yahvé vous dispersera parmi les peuples, et il ne restera de vous qu'un petit nombre, au milieu des nations où Yahvé vous aura conduits.
- sur le terroir de mon peuple croîtra le buisson de ronces, comme sur toute maison joyeuse de la cité délirante.
- Quelle perversité ! Le potier ressemble-t-il à l'argile pour qu'une oeuvre ose dire à celui qui l'a faite : « Il ne m'a pas faite », et un pot à son potier : « Il ne sait pas travailler » ?
- Car la ville fortifiée est devenue une solitude, abandonnée, délaissée comme un désert, où les veaux paissent, où ils se couchent en détruisant les branchages.
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV