- Yahvé, tu es mon Dieu, je t'exalterai, je louerai ton nom, car tu as accompli des merveilles, les desseins de jadis, fidèlement, fermement. - Lire dans le contexte
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- Yah est ma force et mon chant, à lui je dois mon salut. Il est mon Dieu, je le célèbre, le Dieu de mon père et je l'exalte.
- Psaume. Chantez à Yahvé un chant nouveau, car il a fait des merveilles ; le salut lui vint de sa droite, de son bras de sainteté.
- C'est toi mon Dieu, je te rends grâce, mon Dieu, je t'exalte ; je te rends grâce, car tu m'as exaucé, tu fus pour moi le salut.
- Heureux est l'homme, celui-là qui met en Yahvé sa foi, ne tourne pas du côté des rebelles égarés dans le mensonge !
- Dieu n'est pas homme, pour qu'il mente, ni fils d'Adam, pour qu'il se rétracte. Est-ce lui qui dit et ne fait pas, qui parle et n'accomplit pas ?
- Yahvé déjoue le plan des nations, il empêche les pensées des peuples ;
- C'est en lui encore que nous avons été mis à part, désignés d'avance, selon le plan préétabli de Celui qui mène toutes choses au gré de sa volonté,
- J'annonce dès l'origine ce qui doit arriver, d'avance, ce qui n'est pas encore accompli, je dis : Mon projet se réalisera, j'accomplirai ce qui me plaît ;
- Je veux louer Yahvé tant que je vis, je veux jouer pour mon Dieu tant que je dure.
- Exaltez Yahvé notre Dieu, prosternez-vous vers son marchepied lui, il est saint.
- Je suis plein d'allégresse en Yahvé, mon âme exulte en mon Dieu, car il m'a revêtu de vêtements de salut, il m'a drapé dans un manteau de justice, comme l'époux qui se coiffe d'un diadème, comme la fiancée qui se pare de ses bijoux.
- Yahvé notre Dieu, d'autres maîtres que toi ont dominé sur nous, mais, attachés à toi seul, nous invoquons ton nom.
- Car je ne veux pas, frères, vous laisser ignorer ce mystère, de peur que vous ne vous complaisiez en votre sagesse : une partie d'Israël s'est endurcie jusqu'à ce que soit entrée la totalité des païens,
- Aussi Dieu, voulant bien davantage faire voir aux héritiers de la promesse l'immutabilité de son dessein, s'engagea-t-il par un serment,
- ils chantaient un cantique nouveau : « Tu es digne de prendre le livre et d'en ouvrir les sceaux, car tu fus égorgé et tu rachetas pour Dieu, au prix de ton sang, des hommes de toute race, langue, peuple et nation ;
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