- Comme la chaleur sur une terre aride, tu apaises le tumulte des étrangers : la chaleur tiédit à l'ombre d'un nuage, le chant des violents se tait. - Lire dans le contexte
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- s'en ira séduire les nations des quatre coins de la terre, Gog et Magog, et les rassembler pour la guerre, aussi nombreux que le sable de la mer ;
- Voici : s'il se produit une attaque, ce ne sera pas de mon fait ; quiconque t'aura attaquée tombera à cause de toi.
- Mais ainsi parle Yahvé : Eh bien, le prisonnier du guerrier lui sera arraché, et la prise du tyran sera libérée. Je vais moi-même chercher querelle à qui te cherche querelle, tes enfants, c'est moi qui les sauverai.
- Ils n'auront plus faim ni soif, ils ne souffriront pas du vent brûlant ni du soleil, car celui qui les prend en pitié les conduira, il les mènera vers les eaux jaillissantes.
- Yahvé fera entendre la majesté de sa voix, il fera sentir le poids de son bras, dans l'ardeur de sa colère accompagnée d'un feu dévorant, de la foudre, d'averses et de grêlons.
- Car ainsi m'a parlé Yahvé : Je veux rester ici impassible et regarder, comme la chaleur brûlante en pleine lumière, comme un nuage de rosée au plus chaud de la moisson.
- Malheur ! Rumeur de peuples immenses, rumeur comme la rumeur des mers ! grondement de peuples, qui grondent comme grondent les eaux puissantes !
- Toi, on t'a jeté hors de ton sépulcre, comme un rameau dégoûtant, au milieu de gens massacrés, transpercés par l'épée, jetés sur les pierres de la fosse, comme une charogne foulée aux pieds.
- Tous prennent la parole pour te dire : « Toi aussi, tu es déchu comme nous, devenu semblable à nous.
- Je vais châtier l'univers de sa méchanceté et les méchants de leur faute ; mettre fin à l'arrogance des superbes, humilier l'orgueil des tyrans.
- Aujourd'hui même, à Nob, lors d'une halte, il agitera la main vers la montagne de la fille de Sion, la colline de Jérusalem.
- Car il disait : « N'est-ce pas que tous mes chefs sont des rois ?
- il déploya une nuée pour les couvrir, un feu pour éclairer de nuit.
- Pourquoi les païens diraient-ils : « Où est leur Dieu ? » Que sous nos yeux les païens connaissent la vengeance du sang de tes serviteurs, qui fut versé !
- Elève tes pas vers ce chaos sans fin il a tout saccagé, l'ennemi, au sanctuaire ;
En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV